découvrez les contes pandastiques que nous avons reçus !
Avec l'aide de ses amis, le panda a lu toutes les histoires que vous nous avez envoyées. Et il y en avait un paquet !
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Un tout grand MERCI à tous les auteurs
et à leurs enseignants pandastiques !
et BOnne lecture !
L'aventure de Lou, le lynx
Soline, 6e primaire, Athénée Royal d'Arlon
Lou habitait dans une très grande forêt, en Europe. Cette forêt était très spéciale car, même si personne ne le savait, dans une partie de la forêt, il y avait un monde magique !
Un jour, se trouvant trop seul, Lou partit vers ce monde magique pour savoir où trouver un autre lynx. Arrivé là-bas, une petite fée lui dit que, dans leur forêt, il n’y avait pas d’autre lynx, mais que très loin de là, à l’autre bout de l’Europe, un lynx s’ennuyait aussi… « C’est trop loin, je préfère rester ici », dit Lou, déçu.
Les jours passèrent, des bucherons arrivèrent et commencèrent à couper, à couper les arbres de la vaste forêt. Beaucoup d’animaux perdirent leur maison, puis moururent.
Lou allait bientôt subir le même sort : plus de maison… plus de nourriture… Il décida donc de partir vers les terres lointaines, à l’autre bout de l’Europe pour rejoindre le dernier lynx qui y habitait. Tulipe, la petite fée, proposa de l’accompagner.
Ils se mirent en route le lendemain matin. Pendant trois longs mois, Tulipe et Lou n’ont pas rencontré de danger car, quand ils devaient quitter l’abri des arbres, ils voyageaient de nuit.
Malheureusement, une semaine après, cela se compliqua. Un matin, quand Tulipe regarda au loin, elle ne vit pas un seul arbre… c’était le désert… Tous les arbres étaient morts… Inquiète, elle réveilla Lou. Qu’était-il arrivé ? Comment voyager à découvert ?
Le danger est partout, les braconniers rôdent. Ensemble, ils cherchèrent une idée pendant toute la matinée. A midi, ils se décidèrent enfin : Tulipe allait utiliser exceptionnellement sa magie pour les rendre invisibles. Ils allaient devoir dormir le moins possible car la magie ne durerait pas longtemps.
Tout se passa très bien, Tulipe avait dû recommencer le sort plusieurs fois et ils ne dormirent que très rarement. Ils arrivèrent à destination quelques mois plus tard, fatigués d’avoir été pourchassés sans cesse par des chasseurs…
Ils furent très heureux de rencontrer le lynx, qui n’était pas un mâle, mais bien une magnifique femelle qui s’appelait Prune. Ce fut le coup de foudre entre les deux bêtes. Ensemble, ils eurent quatre enfants et Tulipe décida de rester avec eux… et la forêt magique se reforma autour d’eux, immense et pleine d’abondance !
Soline, 6e primaire, Athénée Royal d'Arlon
Lou habitait dans une très grande forêt, en Europe. Cette forêt était très spéciale car, même si personne ne le savait, dans une partie de la forêt, il y avait un monde magique !
Un jour, se trouvant trop seul, Lou partit vers ce monde magique pour savoir où trouver un autre lynx. Arrivé là-bas, une petite fée lui dit que, dans leur forêt, il n’y avait pas d’autre lynx, mais que très loin de là, à l’autre bout de l’Europe, un lynx s’ennuyait aussi… « C’est trop loin, je préfère rester ici », dit Lou, déçu.
Les jours passèrent, des bucherons arrivèrent et commencèrent à couper, à couper les arbres de la vaste forêt. Beaucoup d’animaux perdirent leur maison, puis moururent.
Lou allait bientôt subir le même sort : plus de maison… plus de nourriture… Il décida donc de partir vers les terres lointaines, à l’autre bout de l’Europe pour rejoindre le dernier lynx qui y habitait. Tulipe, la petite fée, proposa de l’accompagner.
Ils se mirent en route le lendemain matin. Pendant trois longs mois, Tulipe et Lou n’ont pas rencontré de danger car, quand ils devaient quitter l’abri des arbres, ils voyageaient de nuit.
Malheureusement, une semaine après, cela se compliqua. Un matin, quand Tulipe regarda au loin, elle ne vit pas un seul arbre… c’était le désert… Tous les arbres étaient morts… Inquiète, elle réveilla Lou. Qu’était-il arrivé ? Comment voyager à découvert ?
Le danger est partout, les braconniers rôdent. Ensemble, ils cherchèrent une idée pendant toute la matinée. A midi, ils se décidèrent enfin : Tulipe allait utiliser exceptionnellement sa magie pour les rendre invisibles. Ils allaient devoir dormir le moins possible car la magie ne durerait pas longtemps.
Tout se passa très bien, Tulipe avait dû recommencer le sort plusieurs fois et ils ne dormirent que très rarement. Ils arrivèrent à destination quelques mois plus tard, fatigués d’avoir été pourchassés sans cesse par des chasseurs…
Ils furent très heureux de rencontrer le lynx, qui n’était pas un mâle, mais bien une magnifique femelle qui s’appelait Prune. Ce fut le coup de foudre entre les deux bêtes. Ensemble, ils eurent quatre enfants et Tulipe décida de rester avec eux… et la forêt magique se reforma autour d’eux, immense et pleine d’abondance !
Contes de l'école communale de L'Escaillère
4-5-6e primaires
4-5-6e primaires
Un conte lynxtique
Léa et Romane
Au sud de la Finlande, vivait un lynx au pelage noir et brun. Il s’appelait Pacot.
Il avait pour habitude de se rendre à la rivière, mais un jour, il eut un problème.
Il vit une flaque d’eau, mais malheureusement elle était non potable. Soudain il but et entendit un bruit, c’est alors qu’il aperçut une lynx. Il tomba dans les pommes et la lynx craqua, elle prit Pacot et l’emmena à l’hôpital des lynx.
Pacot se réveilla et la lynx tomba amoureuse de lui car il était craquant. Elle l' embrassa car elle ne résista pas à sa beauté.
Elle lui dit ensuite son prénom : « Je m'appelle Pâquerette. »
Elle était d'un pelage blanc et noir, elle avait des yeux bleus tout simplement magnifiques. Ils eurent des petits lynx : Poulcot, Portugal et Parquaite.
Poulcot, le petit mâle de la famille, souffrait du même mal que son père, car il avait pour habitude de s’abreuver quotidiennement dans la flaque d’eau non potable. Il fut à son tour emmené à l’hôpital des lynx car il avait bu beaucoup d’eau non potable. Il se réveilla sur un lit d’hôpital. Son sauveur, un autre lynx, était à son chevet. Ce dernier l’avait ramassé près de la flaque après sa chute.
« Tu es mon sauveur ! »
« Je n’allais pas pas te laisser comme ça en plan »
Poulcot, tout ému lui répondit : « merci ! »
Cette flaque commençait à poser des gros problèmes. Poulcot était le trentième à être emmené à l’hôpital sur un mois de temps.
Alors il fit son enquête et vit qu’aux abords de la flaque, il y avait des écoulements d’un liquide jaunâtre qui provenait de l’usine voisine. Il regroupa tous les lynx, dont son père, de ce coin perdu de Finlande. Ensemble, ils eurent l’idée de créer des tuyaux pour canaliser le liquide jaune et l’emmener dans un bassin où il pourra être nettoyé et recyclé.
Depuis, tous les lynx boivent l’eau de la flaque et ne tombent plus jamais malades !
Léa et Romane
Au sud de la Finlande, vivait un lynx au pelage noir et brun. Il s’appelait Pacot.
Il avait pour habitude de se rendre à la rivière, mais un jour, il eut un problème.
Il vit une flaque d’eau, mais malheureusement elle était non potable. Soudain il but et entendit un bruit, c’est alors qu’il aperçut une lynx. Il tomba dans les pommes et la lynx craqua, elle prit Pacot et l’emmena à l’hôpital des lynx.
Pacot se réveilla et la lynx tomba amoureuse de lui car il était craquant. Elle l' embrassa car elle ne résista pas à sa beauté.
Elle lui dit ensuite son prénom : « Je m'appelle Pâquerette. »
Elle était d'un pelage blanc et noir, elle avait des yeux bleus tout simplement magnifiques. Ils eurent des petits lynx : Poulcot, Portugal et Parquaite.
Poulcot, le petit mâle de la famille, souffrait du même mal que son père, car il avait pour habitude de s’abreuver quotidiennement dans la flaque d’eau non potable. Il fut à son tour emmené à l’hôpital des lynx car il avait bu beaucoup d’eau non potable. Il se réveilla sur un lit d’hôpital. Son sauveur, un autre lynx, était à son chevet. Ce dernier l’avait ramassé près de la flaque après sa chute.
« Tu es mon sauveur ! »
« Je n’allais pas pas te laisser comme ça en plan »
Poulcot, tout ému lui répondit : « merci ! »
Cette flaque commençait à poser des gros problèmes. Poulcot était le trentième à être emmené à l’hôpital sur un mois de temps.
Alors il fit son enquête et vit qu’aux abords de la flaque, il y avait des écoulements d’un liquide jaunâtre qui provenait de l’usine voisine. Il regroupa tous les lynx, dont son père, de ce coin perdu de Finlande. Ensemble, ils eurent l’idée de créer des tuyaux pour canaliser le liquide jaune et l’emmener dans un bassin où il pourra être nettoyé et recyclé.
Depuis, tous les lynx boivent l’eau de la flaque et ne tombent plus jamais malades !
Le loup veilleur de nuit
Hugo et Louis
Dans le fin fond des forêts glaciales de la Russie, vivait une famille de loups.
Un beau jour pendant que les parents étaient en train de chasser, les louveteaux jouaient dans la neige paisiblement quand tout-à-coup deux coups de fusils retentirent dans la forêt. Les louveteaux coururent dans la tanière, terrifiés, et attendirent le retour de leurs parents. Soudain ils entendirent des bruits de pas, énormes, ceux d’un humain. Ils s’arrêtèrent et les louveteaux virent une tête surgir dans l'entrée de la tanière.
Le chasseur tira des coups de fusils dans la tanière et tua tous les louveteaux, sauf un : Rex. Le chasseur prit le louveteau et le ramena à son domicile. De retour chez lui, il le mit dans une cage pour le dresser.
Le lendemain matin l’homme commença son entraînement. Il le fit escalader une petite falaise. Arrivé en haut, Rex essaya de s'enfuir, mais le chasseur l’en empêcha en le faisant tomber dans une fosse de 2 mètres de profondeur. Après quelques heures d’attente, une meute vint le délivrer.
Rex intégra la meute. Il devint veilleur de nuit. Les années passèrent, notre louveteau devint un loup aux sens très développés : œil de faucon et oreilles de léopard.
Chaque membre de la meute assurait une charge. Cette manière de vivre rendit Rex très épanoui. Un jour, il sentit une odeur qui lui rappelait de mauvais souvenirs, l’odeur de cet humain, qui avait tenté de le dresser, de le priver de sa liberté. Il surprit l’homme en train de chasser. Il lui sauta dessus. C’est alors que le chasseur le reconnu. Désarmé, il ne pouvait se défendre. Rex se souvint de sa famille, ce qui lui donna la force d'emmener le chasseur dans la fosse où il était tombé étant louveteau. Il l’y abandonna.
Hugo et Louis
Dans le fin fond des forêts glaciales de la Russie, vivait une famille de loups.
Un beau jour pendant que les parents étaient en train de chasser, les louveteaux jouaient dans la neige paisiblement quand tout-à-coup deux coups de fusils retentirent dans la forêt. Les louveteaux coururent dans la tanière, terrifiés, et attendirent le retour de leurs parents. Soudain ils entendirent des bruits de pas, énormes, ceux d’un humain. Ils s’arrêtèrent et les louveteaux virent une tête surgir dans l'entrée de la tanière.
Le chasseur tira des coups de fusils dans la tanière et tua tous les louveteaux, sauf un : Rex. Le chasseur prit le louveteau et le ramena à son domicile. De retour chez lui, il le mit dans une cage pour le dresser.
Le lendemain matin l’homme commença son entraînement. Il le fit escalader une petite falaise. Arrivé en haut, Rex essaya de s'enfuir, mais le chasseur l’en empêcha en le faisant tomber dans une fosse de 2 mètres de profondeur. Après quelques heures d’attente, une meute vint le délivrer.
Rex intégra la meute. Il devint veilleur de nuit. Les années passèrent, notre louveteau devint un loup aux sens très développés : œil de faucon et oreilles de léopard.
Chaque membre de la meute assurait une charge. Cette manière de vivre rendit Rex très épanoui. Un jour, il sentit une odeur qui lui rappelait de mauvais souvenirs, l’odeur de cet humain, qui avait tenté de le dresser, de le priver de sa liberté. Il surprit l’homme en train de chasser. Il lui sauta dessus. C’est alors que le chasseur le reconnu. Désarmé, il ne pouvait se défendre. Rex se souvint de sa famille, ce qui lui donna la force d'emmener le chasseur dans la fosse où il était tombé étant louveteau. Il l’y abandonna.
Le renard sauveur
Joe et Clément
Il était une fois, en plein cœur de la Belgique, un renard au pelage roux.
Il était tellement roux qu’il paraissait même doré grâce aux reflets du soleil. Il s'appelait Kito. Il vivait dans le bois à côté du poulailler. Sa nourriture préférée était le lapin. Son meilleur ami était Lukaku un petit corbeau noir.
Tous les fermiers du coin aimaient ce renard car il protégeait les poules.
Un jour, il allait à la chasse et il tua un lapin.
Il le dévora et repartit au poulailler pour surveiller les poules.
Quand il arriva il vit des petits renards qui espionnaient la ferme. Il les repoussa et ceux-ci retournèrent vers leurs parents.
Les parents renards s’exclamèrent :
«Nous avons faim ! Laisse-nous manger !
- Non, c’est une ferme ici, allez donc chasser dans les bois !
- Nous n’y trouvons pas de poules.
- Changez de nourriture
- On reviendra ce soir. »
Le soir venu, son ami Lukaku lui dit : « Il y a des ennemis qui arrivent. »
Le renard prévint le fermier et les poules. Le fermier se cacha derrière la fenêtre et les poules rentrèrent dans le poulailler et on vit le groupe des renards s’approcher.
Kito dit :
« Partez ! Où ça va finir mal !
- Tu ne me fais pas peur. Répondit l’autre. »
Le fermier tira un coup de fusil et tous les renards ennemis se sauvèrent.
Kito s’assura que toutes les poules allaient bien avant d’aller remercier le fermier.
« J’ai beaucoup de chance de t’avoir Kito, tu es vraiment plus qu’un renard pour moi ! Merci ! »
Après tous ces évènements, Kito s’endormit.
Soudain, un bruit le fit sursauter ! Les renards revinrent mais Kito n’eut pas le temps d’aller prévenir le fermier ni les poules. C’est alors qu’il vit Lukaku s’attaquer à un des petits renards, il le becta à sang, le mordit et le griffa jusqu’au moment où ses parents comprirent qu’il était inutile de revenir à la ferme, que la vie ici y était bien trop sereine.
« Vous formez vraiment une drôle de famille, mais vous êtes très unis. Nous respectons cela, dit le papa renard.
- Merci, la vie est bien plus belle dans notre communauté, voulez-vous vous y joindre ? Bien entendu, il faudra y respecter
les règles, dit Kito.
- Nous allons y réfléchir. »
Quelques années plus tard, la vie à la ferme est vraiment chouette, la famille renard s’est habituée à leur rythme tandis que Lukaku et Kito restent inséparables.
Joe et Clément
Il était une fois, en plein cœur de la Belgique, un renard au pelage roux.
Il était tellement roux qu’il paraissait même doré grâce aux reflets du soleil. Il s'appelait Kito. Il vivait dans le bois à côté du poulailler. Sa nourriture préférée était le lapin. Son meilleur ami était Lukaku un petit corbeau noir.
Tous les fermiers du coin aimaient ce renard car il protégeait les poules.
Un jour, il allait à la chasse et il tua un lapin.
Il le dévora et repartit au poulailler pour surveiller les poules.
Quand il arriva il vit des petits renards qui espionnaient la ferme. Il les repoussa et ceux-ci retournèrent vers leurs parents.
Les parents renards s’exclamèrent :
«Nous avons faim ! Laisse-nous manger !
- Non, c’est une ferme ici, allez donc chasser dans les bois !
- Nous n’y trouvons pas de poules.
- Changez de nourriture
- On reviendra ce soir. »
Le soir venu, son ami Lukaku lui dit : « Il y a des ennemis qui arrivent. »
Le renard prévint le fermier et les poules. Le fermier se cacha derrière la fenêtre et les poules rentrèrent dans le poulailler et on vit le groupe des renards s’approcher.
Kito dit :
« Partez ! Où ça va finir mal !
- Tu ne me fais pas peur. Répondit l’autre. »
Le fermier tira un coup de fusil et tous les renards ennemis se sauvèrent.
Kito s’assura que toutes les poules allaient bien avant d’aller remercier le fermier.
« J’ai beaucoup de chance de t’avoir Kito, tu es vraiment plus qu’un renard pour moi ! Merci ! »
Après tous ces évènements, Kito s’endormit.
Soudain, un bruit le fit sursauter ! Les renards revinrent mais Kito n’eut pas le temps d’aller prévenir le fermier ni les poules. C’est alors qu’il vit Lukaku s’attaquer à un des petits renards, il le becta à sang, le mordit et le griffa jusqu’au moment où ses parents comprirent qu’il était inutile de revenir à la ferme, que la vie ici y était bien trop sereine.
« Vous formez vraiment une drôle de famille, mais vous êtes très unis. Nous respectons cela, dit le papa renard.
- Merci, la vie est bien plus belle dans notre communauté, voulez-vous vous y joindre ? Bien entendu, il faudra y respecter
les règles, dit Kito.
- Nous allons y réfléchir. »
Quelques années plus tard, la vie à la ferme est vraiment chouette, la famille renard s’est habituée à leur rythme tandis que Lukaku et Kito restent inséparables.
L'ours brun
Hélène
Il était une fois, au fin fond de l’Estonie, un ours brun qui s'appelait Victor. Il raffolait du miel.
Un jour alors qu'il dormait dans sa grotte, Victor entendit un bruit qui venait de l'extérieur.
Il s'approcha doucement et vit un homme avec un fusil. Il avait peur, il retourna se cacher dans sa grotte.
Il respirait à fond.
10 minutes plus tard, l'homme entra dans la grotte car il commençait à pleuvoir et il souhaitait s’abriter.
Soudain, l'homme sentit qu'il y avait une bête dans la grotte. Il sortit son fusil, mais l'ours réussit à s'échapper.
Il courut dans la forêt. Il regarda devant lui et vit un mur de pierres, l'homme était derrière lui. L'ours avait très peur.
Soudain, un vieil ami de Victor dont le nom était Bart, un ours très malin, fit fuir le chasseur !
« Tu m'as manqué ! Dit Bart.
- A moi aussi tu m'as manqué ! Dit Victor.
- Veux-tu repartir avec moi ? Demanda Bart.
- Oh oui, depuis que ce chasseur est rentré dans ma grotte, je n'ai plus envie d'y retourner.
-Mais attends...As-tu du miel ? Demande Victor .
-Mais oui gourmand, allez viens ! »
Hélène
Il était une fois, au fin fond de l’Estonie, un ours brun qui s'appelait Victor. Il raffolait du miel.
Un jour alors qu'il dormait dans sa grotte, Victor entendit un bruit qui venait de l'extérieur.
Il s'approcha doucement et vit un homme avec un fusil. Il avait peur, il retourna se cacher dans sa grotte.
Il respirait à fond.
10 minutes plus tard, l'homme entra dans la grotte car il commençait à pleuvoir et il souhaitait s’abriter.
Soudain, l'homme sentit qu'il y avait une bête dans la grotte. Il sortit son fusil, mais l'ours réussit à s'échapper.
Il courut dans la forêt. Il regarda devant lui et vit un mur de pierres, l'homme était derrière lui. L'ours avait très peur.
Soudain, un vieil ami de Victor dont le nom était Bart, un ours très malin, fit fuir le chasseur !
« Tu m'as manqué ! Dit Bart.
- A moi aussi tu m'as manqué ! Dit Victor.
- Veux-tu repartir avec moi ? Demanda Bart.
- Oh oui, depuis que ce chasseur est rentré dans ma grotte, je n'ai plus envie d'y retourner.
-Mais attends...As-tu du miel ? Demande Victor .
-Mais oui gourmand, allez viens ! »
Contes des élèves de l'école communale fondamentale de Polleur-Theux
Élèves de 5 à 8 ans
Élèves de 5 à 8 ans
Le super héros lynx, il était perdu. Mais un super héros lui dit : - Est-ce que je peux t'aider? - Oui, lui dit [le lynx]. Merci ! - Tu peux me dire où tu habites dans la forêt et je peux t'aider. - Oui, tu peux trouver la personne que je cherche. |
Un chasseur chasse le loup. Il s'appelle Tiziano. Il vit à la montagne. Aubry va le sauver. |
Il était une fois une meute de lynx. Un[e lynx de la meute] s'appelle Reine des Neiges, elle était la plus petite de la meute. Un jour elle se perdit et utilisa ses supers pouvoirs. Elle vivait dans un chateau de neige. Un jour les chasseurs attaquèrent. Et comme il y avait des gardes (...) ils dirent : "Ne le tuez pas, il est gentil!" Nous sommes des pépés. Avant on était des grands chasseurs, et nous sommes nuls. |
Le loup
Lilou, 11 ans
Il était une fois un loup.
Celui-ci était gentil et ne s’attaquait pas aux moutons ni aux autres animaux de la ferme
dès que le fermier avait le dos tourné.
Donc, un beau jour, le loup alla se promener autour d’une ferme,
mais la fermière crut que celui-ci voulait manger ses moutons,
alors cette femme chassa la brave bête.
Une semaine plus tard, le loup retourna à la même ferme,
et ce n’était pas la fermière mais un fermier.
Cet homme faisait confiance au loup gentil.
Le fermier remarqua que le loup gardait les moutons au lieu de les manger.
Donc, l’homme partit faire une course ou deux,
et le loup se mit à courir derrière les moutons, pour jouer bien-sûr !
Et juste au moment où le fermier revint le loup rassemblait les moutons, et celui-ci les rentrait dans leur enclot.
Il garda alors le loup une nuit à la ferme.
Le lendemain, le loup était déjà occupé à garder les bêtes à laine au moment où le fermier se levait.
Après avoir conduit les moutons dans la prairie, le fermier alla réveiller sa femme,
et donc laissa le loup et les moutons tous seul.
La brave bête joua à nouveau avec les moutons,
mais cette fois-ci le fermier était revenu pendant que le loup jouait avec eux !
Le fermier dit alors :
- Va-t’en sale bête, et je t’ai fait confiance !
- Tu vois c’est de lui dont je te parlais hier, répondit la fermière.
Et le loup retourna chez lui, dans la forêt.
Il y avait beaucoup d’animaux dans celle-ci. Il y avait donc beaucoup à manger !
Mais le problème allait très vite s’arranger !
Car le fermier alla voir si le loup était si méchant qu’il le pensait.
Donc, il s’avança sur le chemin de la forêt et aperçut le loup gentil qui s’amusait avec les moutons sauvages.
- Veux-tu m’excuser loup gentil et même adorable, dit le fermier.
- Aouuuuuuuuuuuuuuuu, répondit le loup.
- Veux-tu revenir avec moi à la ferme ?, demanda le fermier.
Le loup ne sachant parler hurla.
Pour le fermier cela voulait dire oui, donc ils retournèrent à la ferme ensemble et heureux.
- Mais pourquoi le ramènes-tu, tu sais qu’il allait manger nos moutons ?!? dit la fermière.
- Mais il ne voulait pas les manger mais jouer avec eux ! répondit l’homme
Et ce couple « adopta » le loup.
Ils vécurent heureux et le loup eu beaucoup de louveteaux avec une petite louve qui avait pour prénom Charlotte.
FIN
Lilou, 11 ans
Il était une fois un loup.
Celui-ci était gentil et ne s’attaquait pas aux moutons ni aux autres animaux de la ferme
dès que le fermier avait le dos tourné.
Donc, un beau jour, le loup alla se promener autour d’une ferme,
mais la fermière crut que celui-ci voulait manger ses moutons,
alors cette femme chassa la brave bête.
Une semaine plus tard, le loup retourna à la même ferme,
et ce n’était pas la fermière mais un fermier.
Cet homme faisait confiance au loup gentil.
Le fermier remarqua que le loup gardait les moutons au lieu de les manger.
Donc, l’homme partit faire une course ou deux,
et le loup se mit à courir derrière les moutons, pour jouer bien-sûr !
Et juste au moment où le fermier revint le loup rassemblait les moutons, et celui-ci les rentrait dans leur enclot.
Il garda alors le loup une nuit à la ferme.
Le lendemain, le loup était déjà occupé à garder les bêtes à laine au moment où le fermier se levait.
Après avoir conduit les moutons dans la prairie, le fermier alla réveiller sa femme,
et donc laissa le loup et les moutons tous seul.
La brave bête joua à nouveau avec les moutons,
mais cette fois-ci le fermier était revenu pendant que le loup jouait avec eux !
Le fermier dit alors :
- Va-t’en sale bête, et je t’ai fait confiance !
- Tu vois c’est de lui dont je te parlais hier, répondit la fermière.
Et le loup retourna chez lui, dans la forêt.
Il y avait beaucoup d’animaux dans celle-ci. Il y avait donc beaucoup à manger !
Mais le problème allait très vite s’arranger !
Car le fermier alla voir si le loup était si méchant qu’il le pensait.
Donc, il s’avança sur le chemin de la forêt et aperçut le loup gentil qui s’amusait avec les moutons sauvages.
- Veux-tu m’excuser loup gentil et même adorable, dit le fermier.
- Aouuuuuuuuuuuuuuuu, répondit le loup.
- Veux-tu revenir avec moi à la ferme ?, demanda le fermier.
Le loup ne sachant parler hurla.
Pour le fermier cela voulait dire oui, donc ils retournèrent à la ferme ensemble et heureux.
- Mais pourquoi le ramènes-tu, tu sais qu’il allait manger nos moutons ?!? dit la fermière.
- Mais il ne voulait pas les manger mais jouer avec eux ! répondit l’homme
Et ce couple « adopta » le loup.
Ils vécurent heureux et le loup eu beaucoup de louveteaux avec une petite louve qui avait pour prénom Charlotte.
FIN
Le voyage d'Arc en ciel
Ecole Sainte Thérèse (Ans), 2e et 3e maternelles
C'est en rangeant le journal dans la bibliothèque que nous avons été tristes de voir un ours qui pleurait. Alors, puisque nous ne savons pas encore lire, nous avons demandé à madame si elle ne savait pas pourquoi l'ours pleurait. Elle nous a alors lu le titre de l'article : « La tristesse d'un ours qui s 'ennuie ». Nous avons eu tout de suite envie de l'aider. Et voici notre histoire.
Il était une fois un ours qui vivait dans une forêt de Pologne.
Il est grand, gentil, de toutes les couleurs et il aime dormir !
Mais il ne savait pas quoi faire. Alors, pour ne pas s'ennuyer, il dormait beaucoup...
Nous avons décidé de l'adopter. Mais nous ne savions pas aller le chercher. Alors, un ami à eu l'idée formidable de nous mettre ensemble pour l’appeler. Nous avons tous été dans la cour pour diriger l'ours. Nous avons regardé le ciel et nous avons crié très fort : « Arc-en-ciel, viens ici, suis nos voix, on va s’occuper de toi... ».
On a recommencé plusieurs fois pour être sûr qu'il nous entende.
Ecole Sainte Thérèse (Ans), 2e et 3e maternelles
C'est en rangeant le journal dans la bibliothèque que nous avons été tristes de voir un ours qui pleurait. Alors, puisque nous ne savons pas encore lire, nous avons demandé à madame si elle ne savait pas pourquoi l'ours pleurait. Elle nous a alors lu le titre de l'article : « La tristesse d'un ours qui s 'ennuie ». Nous avons eu tout de suite envie de l'aider. Et voici notre histoire.
Il était une fois un ours qui vivait dans une forêt de Pologne.
Il est grand, gentil, de toutes les couleurs et il aime dormir !
Mais il ne savait pas quoi faire. Alors, pour ne pas s'ennuyer, il dormait beaucoup...
Nous avons décidé de l'adopter. Mais nous ne savions pas aller le chercher. Alors, un ami à eu l'idée formidable de nous mettre ensemble pour l’appeler. Nous avons tous été dans la cour pour diriger l'ours. Nous avons regardé le ciel et nous avons crié très fort : « Arc-en-ciel, viens ici, suis nos voix, on va s’occuper de toi... ».
On a recommencé plusieurs fois pour être sûr qu'il nous entende.
L'ours qui dormait, se réveilla doucement en entendant des cris d'enfants
au loin. Il écouta encore pour mieux comprendre ce que nous disions. Quand il a
compris le message, il a eu envie de venir chez nous. Il pensait que ce serait chouette de venir nous dire bonjour
et voir des amis qui ont l'air très
gentils puisqu'ils veulent bien
s’occuper de lui ». Alors,
il a décidé de se laisser guider par leurs voix pour les rejoindre.
Il se mit en route. Dans la forêt, il rencontra un loup. Il avait l'air très gentil et il s’appelait Cily. Je lui ai expliqué mon projet et nous nous sommes mis à parler.
Arc en ciel : « Peux tu m'aider à suivre ces voix et retrouver ces enfants ? »
Cily : « Viens, suis moi, je les entends. Je crois qu'elles viennent du fond de la forêt ».
Ils se mirent tous les deux en route. La nuit vint et Cily se transforma en loup-garou. Il devint méchant et voulut maintenant manger Arc-en-ciel. Ils se bagarrèrent pendant presque toute la nuit. Le pauvre Arc-en- ciel était fatigué mais il sortit ses griffes et blessa le loup qui ne savait plus se relever. Arc-en-ciel était tellement gentil, qu'avant de continuer son chemin, il conduisit le loup à l'hôpital.
A l’hôpital, Arc-en-ciel rencontra Riny un renard roux qui avait la patte cassée. Il lui expliqua aussi son histoire et demanda aussi de l'aide à Riny :
Arc en ciel « Entends-tu les voix des enfants ? »
Riny : « Oui, elles sont magnifiques. Elles viennent de l'école Sainte Thérèse à Ans en Belgique »
Arc en ciel « Peux-tu m'aider à y aller ?
Riny : « Oui mais je ne sais pas marcher. »
Arc en ciel : « Grimpe sur mon dos et tu vas me guider ».
Ils continuèrent tous les deux leur chemin et marchèrent pendant longtemps, longtemps.
Ils arrivèrent alors en République Tchèque. Le renard était tellement fatigué qu'il dut se reposer. Alors, Arc-en-ciel alla l'installer dans un lit et repartit.
L'ours fut à nouveau seul pour continuer sa route. C'est alors qu'il rencontra « Foufou » le faucon-pèlerin qui connaissait déjà son projet. Il lui dit :
Foufou : « Viens, moi aussi j'entends les enfants de Belgique. Je peux même te dire que ce sont des enfants de la classe de madame Sarah et de madame Marie-Claire. Je vais t'aider à continuer ta route. Je vais faire un bout de chemin avec toi pour les rejoindre ! »
Il le prit sous ses ailes, le cala avec ses griffes et vola dans le ciel. Ils volèrent, volèrent et volèrent... jusqu'en Autriche où Foufou dut déposer Arc-en-ciel car il était très lourd. Heureusement, il trouva vite un arrêt de bus. Il put alors continuer son voyage.
Arc-en-ciel : « Merci Foufou ! Tu m’as bien aidé. »
Il monta dans un bus. Il s'assit et le bus démarra très très vite. Arc-en-ciel avait tellement peur qu'il se cacha en dessous d'un siège. Quand il a levé les yeux, il vit Alex, le lynx, qui se tenait très fort au poteau. Catastrophe ! Le bus tomba en panne en Allemagne. Le chauffeur appela une dépanneuse mais nous dûmes descendre.
Félix le cerf conduisait la dépanneuse. Il emmena le bus à la station d'essence. Arc-en-ciel ne voulait pas attendre que le bus fasse le plein d’essence car il se réjouissait de nous rencontrer. Il trouva un vélo et continua son chemin. Mais c'était tellement fatigant qu'il eut une idée.
Il appela à l'aide :
« Saint-Nicolas, aide-moi ! Saint-Nicolas, descends du ciel avec le traîneau du Père Noël ! S’il te plait, je suis tellement fatigué ».
Tout à coup, un grand vent et un grand bruit passa à côté de notre ami, c'était Saint-Nicolas qui dit : « Viens Arc-en-ciel, je vais justement voir les amis de la classe de madame Sarah et de madame Marie-Claire à l'école Sainte Thérèse à Ans. Je vais en profiter pour t’y conduire.»
Il se mit en route. Dans la forêt, il rencontra un loup. Il avait l'air très gentil et il s’appelait Cily. Je lui ai expliqué mon projet et nous nous sommes mis à parler.
Arc en ciel : « Peux tu m'aider à suivre ces voix et retrouver ces enfants ? »
Cily : « Viens, suis moi, je les entends. Je crois qu'elles viennent du fond de la forêt ».
Ils se mirent tous les deux en route. La nuit vint et Cily se transforma en loup-garou. Il devint méchant et voulut maintenant manger Arc-en-ciel. Ils se bagarrèrent pendant presque toute la nuit. Le pauvre Arc-en- ciel était fatigué mais il sortit ses griffes et blessa le loup qui ne savait plus se relever. Arc-en-ciel était tellement gentil, qu'avant de continuer son chemin, il conduisit le loup à l'hôpital.
A l’hôpital, Arc-en-ciel rencontra Riny un renard roux qui avait la patte cassée. Il lui expliqua aussi son histoire et demanda aussi de l'aide à Riny :
Arc en ciel « Entends-tu les voix des enfants ? »
Riny : « Oui, elles sont magnifiques. Elles viennent de l'école Sainte Thérèse à Ans en Belgique »
Arc en ciel « Peux-tu m'aider à y aller ?
Riny : « Oui mais je ne sais pas marcher. »
Arc en ciel : « Grimpe sur mon dos et tu vas me guider ».
Ils continuèrent tous les deux leur chemin et marchèrent pendant longtemps, longtemps.
Ils arrivèrent alors en République Tchèque. Le renard était tellement fatigué qu'il dut se reposer. Alors, Arc-en-ciel alla l'installer dans un lit et repartit.
L'ours fut à nouveau seul pour continuer sa route. C'est alors qu'il rencontra « Foufou » le faucon-pèlerin qui connaissait déjà son projet. Il lui dit :
Foufou : « Viens, moi aussi j'entends les enfants de Belgique. Je peux même te dire que ce sont des enfants de la classe de madame Sarah et de madame Marie-Claire. Je vais t'aider à continuer ta route. Je vais faire un bout de chemin avec toi pour les rejoindre ! »
Il le prit sous ses ailes, le cala avec ses griffes et vola dans le ciel. Ils volèrent, volèrent et volèrent... jusqu'en Autriche où Foufou dut déposer Arc-en-ciel car il était très lourd. Heureusement, il trouva vite un arrêt de bus. Il put alors continuer son voyage.
Arc-en-ciel : « Merci Foufou ! Tu m’as bien aidé. »
Il monta dans un bus. Il s'assit et le bus démarra très très vite. Arc-en-ciel avait tellement peur qu'il se cacha en dessous d'un siège. Quand il a levé les yeux, il vit Alex, le lynx, qui se tenait très fort au poteau. Catastrophe ! Le bus tomba en panne en Allemagne. Le chauffeur appela une dépanneuse mais nous dûmes descendre.
Félix le cerf conduisait la dépanneuse. Il emmena le bus à la station d'essence. Arc-en-ciel ne voulait pas attendre que le bus fasse le plein d’essence car il se réjouissait de nous rencontrer. Il trouva un vélo et continua son chemin. Mais c'était tellement fatigant qu'il eut une idée.
Il appela à l'aide :
« Saint-Nicolas, aide-moi ! Saint-Nicolas, descends du ciel avec le traîneau du Père Noël ! S’il te plait, je suis tellement fatigué ».
Tout à coup, un grand vent et un grand bruit passa à côté de notre ami, c'était Saint-Nicolas qui dit : « Viens Arc-en-ciel, je vais justement voir les amis de la classe de madame Sarah et de madame Marie-Claire à l'école Sainte Thérèse à Ans. Je vais en profiter pour t’y conduire.»
C’est ainsi
qu’Arc-en-ciel put faire notre connaissance. Aujourd’hui, il dort chaque jour
chez un enfant de notre classe et ne s’ennuie plus car nous nous occupons de
lui chacun à notre tour et ainsi nous veillons sur lui, nous le
protégeons !.
Il dit qu’il est très content d’avoir fait ce voyage très fatigant car, maintenant, il est heureux et en sécurité! Et nous, on est très content qu’il soit là. Ce n'est pas tous les jours qu’on peut aider et protéger un ours multicolore !
Il dit qu’il est très content d’avoir fait ce voyage très fatigant car, maintenant, il est heureux et en sécurité! Et nous, on est très content qu’il soit là. Ce n'est pas tous les jours qu’on peut aider et protéger un ours multicolore !
Les contes de l'école Emile André - Bruxelles
Classe 2D - 2e primaire
Classe 2D - 2e primaire
Les contes de l'école des Perles - Marcinelle
2e primaire
2e primaire
Il était une fois un ours
qui vivait dans le noir.
Il était triste parce qu’il dormait dehors. Une nuit d’étoiles filantes, un écureuil vint aider l’ours triste à trouver la lumière. Ils continuèrent à marcher sur le chemin éclairé. Il était une fois un renard qui s’appelait Natteo et qui habitait près de la ville. Il se promenait et, tout à coup, le renard tomba d’une falaise. L’ours sauva le renard en l’attrapant. Le renard remercia l’ours de l’avoir sauvé. Il était une fois un faucon qui volait dans le ciel. Des ours arrivèrent pour attraper le faucon et le manger. Des aigles vinrent aider le faucon à s’échapper. Il était une fois un gentil loup qui se promenait dans la forêt. Tout à coup, une branche d’olivier se casse et un nid d’oiseaux tomba sur le loup. Le panda vient ramasser le nid et le remit sur une branche d’olivier. Le loup et le panda firent la fête car ils avaient sauvé les oiseaux. Il était une fois un super cerf qui habitait dans la forêt. Il buvait de l’eau au lac. Tout à coup, un loup sauta et le griffa. Puis, un écureuil lui versa un seau d’eau pour soigner sa blessure. Le cerf rentra chez lui pour retrouver tous ses frères et ses sœurs. |
Il était une fois un lynx qui s’appelait Julien.
Il était en train de se promener dans les bois et il rencontra un chasseur appelé Zacharie. Le chasseur voulait le tuer. Le lynx tremblait de peur. Alors, il appela son ami le cerf, Marc-Etienne, pour pincer les fesses du chasseur. Le méchant cria ! Puis, le lynx prit le cerf par ses bois et ils retournèrent chez eux en fermant la porte à clé pour ne plus être ennuyé. |
Les contes de l'école de Fontainebleau - Liège
Classe de Madame Welter
Classe de Madame Welter
Alors, de rage, Arthur commença à hurler à la lune.
Mais l’ours fut réveillé par les cris et décida de trouver le responsable. Il devait le battre pour qu’il quitte SON territoire.
Mais l’ours fut réveillé par les cris et décida de trouver le responsable. Il devait le battre pour qu’il quitte SON territoire.
L’ours trouva Arthur et voulu le faire taire mais le loup était rusé, il évitait les attaques de l’ours pourtant beaucoup plus fort. Arthur essaya de raisonner l’ours qui finalement s’arrêta.
Arthur expliqua à l’ours pourquoi il avait hurlé et l’ours lui conseilla alors d’aller près des poubelles des hommes comme
le font les rats, les chats et même les chiens.
Il lui dit aussi que les hommes gaspillent leur nourriture, et qu’il trouvera de quoi se mettre sous la dent !
Le loup partit et promit de respecter le sommeil de l’ours.
Décidé à ne pas mourir de faim, Arthur s’approcha des poubelles du village et rencontra un garçon qui, au début, resta figé et qui ensuite, s’est enfuit très vite. Le garçonnet raconta son histoire mais ses parents ne le croyaient pas.
La nuit le garçon fit un drôle de rêve : il voyait le loup et celui-ci lui parlait et lui demandait de l’aide.
Le loup avait réussi à capter le regard de l’enfant et chaque soir, en hurlant à la lune loin de l’ours et tout près du village, il rentrait en contact avec celui-ci.
Décidé à ne pas mourir de faim, Arthur s’approcha des poubelles du village et rencontra un garçon qui, au début, resta figé et qui ensuite, s’est enfuit très vite. Le garçonnet raconta son histoire mais ses parents ne le croyaient pas.
La nuit le garçon fit un drôle de rêve : il voyait le loup et celui-ci lui parlait et lui demandait de l’aide.
Le loup avait réussi à capter le regard de l’enfant et chaque soir, en hurlant à la lune loin de l’ours et tout près du village, il rentrait en contact avec celui-ci.
Un jour l’enfant décida de sortir du village pour aller à la rencontre du loup.
Le loup retrouva l’enfant et se mit à lui parler :
- « Je suis content de te revoir, petit d’homme… » L’enfant pense rêver : un loup qui parle !
- « N’aie pas peur petit d’homme, je suis un animal
noble et je ne te tuerai pas. J’ai besoin de ton
aide, j’ai lu dans tes yeux que tu étais quelqu’un
de bien! »
- « Mais je suis un petit garçon, comment
pourrais-je t’aider ? »
- « Il faut dire aux hommes d’arrêter de tuer
la forêt… »
- « Je ne sais pas comment faire, je ne suis qu’un
petit garçon, personne ne m’écoutera ! Mais je te
promets d’essayer. En attendant, je viendrai
chaque soir te voir et je t’apporterai à manger. »
Le loup retrouva l’enfant et se mit à lui parler :
- « Je suis content de te revoir, petit d’homme… » L’enfant pense rêver : un loup qui parle !
- « N’aie pas peur petit d’homme, je suis un animal
noble et je ne te tuerai pas. J’ai besoin de ton
aide, j’ai lu dans tes yeux que tu étais quelqu’un
de bien! »
- « Mais je suis un petit garçon, comment
pourrais-je t’aider ? »
- « Il faut dire aux hommes d’arrêter de tuer
la forêt… »
- « Je ne sais pas comment faire, je ne suis qu’un
petit garçon, personne ne m’écoutera ! Mais je te
promets d’essayer. En attendant, je viendrai
chaque soir te voir et je t’apporterai à manger. »
Un jour, ses parents voyant qu’il partait chaque jour du village, lui demandèrent :
- « Que fais-tu là ? Nous avons remarqué que tu partais tous les jours avec de la nourriture. Qui vas-tu aider ? »
- « Le loup ! » Répondit le garçon. « Chaque soir, je lui apporte de la nourriture. Il m’a dit que les hommes en tuant la forêt
faisaient disparaitre le petit gibier et du coup, ils ont faim !»
Les parents accompagnent donc le petit d’homme et vont à la rencontre du loup. Ils le croisent à la sortie de sa tanière avec ses petits, les parents ont le cœur serré et promettent eux aussi d’aider.
Depuis, chaque jour, en apportant un repas pour le loup et les siens, les hommes replantent des arbres et promettent d’arrêter de tuer la forêt.
- « Que fais-tu là ? Nous avons remarqué que tu partais tous les jours avec de la nourriture. Qui vas-tu aider ? »
- « Le loup ! » Répondit le garçon. « Chaque soir, je lui apporte de la nourriture. Il m’a dit que les hommes en tuant la forêt
faisaient disparaitre le petit gibier et du coup, ils ont faim !»
Les parents accompagnent donc le petit d’homme et vont à la rencontre du loup. Ils le croisent à la sortie de sa tanière avec ses petits, les parents ont le cœur serré et promettent eux aussi d’aider.
Depuis, chaque jour, en apportant un repas pour le loup et les siens, les hommes replantent des arbres et promettent d’arrêter de tuer la forêt.
Fin
Coeur de zombies
Elodie, Cecilia, Cyril, Sofiane, Brandon et Maude
Notre histoire se passe dans un château fort.
Il était une fois, un ours qui s’appelait Sofiane.
Des zombies veulent avoir le château pour eux tout seul.
Mais l’ours n’est pas d’accord
parce que c’est le château de ses parents.
Une bagarre éclate entre Sofiane et les Zombies.
Ils font tellement de bruit qu’ils réveillent
le comte DRACULA.
Les Zombies ont eu peur de Dracula
parce qu’il était très laid et ils sont partis.
L’ours et le comte ont fait une grande fête
croyant gagner la bataille.
Seulement, le lendemain, les zombies sont revenus au château accompagnés de squelettes.
Dracula et l’ours ont eu très peur et ont fait appel à leur ami le loup.
Ils ont négocié jusque tard la nuit.
Enfin, le loup a trouvé une solution : -« Pourquoi ne pas inviter tous les zombies et les squelettes à vivre dans le vieux cimetière du château qui est inhabité ?
Et ainsi, former une équipe plus solide pour futur ennemis.
Dracula et l’ours ont eu très peur et ont fait appel à leur ami le loup.
Ils ont négocié jusque tard la nuit.
Enfin, le loup a trouvé une solution : -« Pourquoi ne pas inviter tous les zombies et les squelettes à vivre dans le vieux cimetière du château qui est inhabité ?
Et ainsi, former une équipe plus solide pour futur ennemis.
Tout le monde a trouvé cette idée géniale !
À partir de ce jour, ils vécurent tous heureux.
Les zombies et les squelettes dans leur nouvelle demeure, Sofiane et Dracula dans le château.
Fin
Écouter son coeur
Edna, Ebenezer, Aurora, Giorgio et Ilias
Il était une fois un lynx qui s’appelait Stéphane.
Son magnifique pelage roux tacheté de noir attirait la convoitise des hommes.
Stéphane devait toujours être sur ses gardes afin de ne pas se faire surprendre par les hommes. Ceux-ci étaient présents dans la montagne afin de traquer les animaux, de les dépouiller de leur belle fourrure dans le seul but de se faire de l’argent !
Si au moins ils chassaient pour se nourrir, ce serait différent pensait Stéphane.
Edna, Ebenezer, Aurora, Giorgio et Ilias
Il était une fois un lynx qui s’appelait Stéphane.
Son magnifique pelage roux tacheté de noir attirait la convoitise des hommes.
Stéphane devait toujours être sur ses gardes afin de ne pas se faire surprendre par les hommes. Ceux-ci étaient présents dans la montagne afin de traquer les animaux, de les dépouiller de leur belle fourrure dans le seul but de se faire de l’argent !
Si au moins ils chassaient pour se nourrir, ce serait différent pensait Stéphane.
Un jour, alors qu’il était à la recherche de nourriture, Stéphane se fait surprendre par 2 chasseurs.
Leurs regards étaient mauvais. Le pauvre lynx voyait toute leur haine,
les détestait !
Son heure avait-elle sonné ???
Quand tout à coup, un ours et un loup sont arrivés et ont attaqué les chasseurs.
Ceux-ci, de peur, prirent leurs jambes à leur cou…
Stéphane reconnut ces amis Bouba et Justin et leur dit :-« Quel bonheur de pouvoir compter sur des amis comme vous ! Merci mille fois ! Mais comment avez-vous su que des chasseurs me traquaient ? ».
Bouba lui répond : - « Nous avons senti l’odeur des hommes et nous avons également senti l’odeur de la peur ! Nous nous sommes approchés et lorsque nous avons vu que tu étais en danger, nous n’avons pas hésité une seule seconde. Tu es un bon copain, on ne pouvait pas te laisser tomber. »
Les amis échangèrent encore quelques nouvelles avant de se saluer.
Ceux-ci, de peur, prirent leurs jambes à leur cou…
Stéphane reconnut ces amis Bouba et Justin et leur dit :-« Quel bonheur de pouvoir compter sur des amis comme vous ! Merci mille fois ! Mais comment avez-vous su que des chasseurs me traquaient ? ».
Bouba lui répond : - « Nous avons senti l’odeur des hommes et nous avons également senti l’odeur de la peur ! Nous nous sommes approchés et lorsque nous avons vu que tu étais en danger, nous n’avons pas hésité une seule seconde. Tu es un bon copain, on ne pouvait pas te laisser tomber. »
Les amis échangèrent encore quelques nouvelles avant de se saluer.
« Ne t’en fais pas, dit Stéphane. Je ne te ferai aucun mal, je peux t’aider à retrouver tes parents ! »
La petite fille lui demande : -« Pourquoi ferais-tu cela ? Les hommes te traquent et toi tu veux m’aider ? »
-« Promets-moi juste de leur parler de moi. Dis leur que je t’ai sauvé et demande leur de nous épargner. Ainsi, nous serons quittes!»
Au même moment, Stéphane entend au loin des hommes et des femmes crier après une certaine Sarah. Apparemment, la petite fille n’entendait pas ces voix ; les Hommes n’ont pas cette chance.
Le lynx demande alors à la petite : - « Est-ce que tu t’appelles Sarah ? »
-« Oui ! » répond la fillette.
-« Alors suis-moi, je te ramène chez toi ! »
La petite fille lui demande : -« Pourquoi ferais-tu cela ? Les hommes te traquent et toi tu veux m’aider ? »
-« Promets-moi juste de leur parler de moi. Dis leur que je t’ai sauvé et demande leur de nous épargner. Ainsi, nous serons quittes!»
Au même moment, Stéphane entend au loin des hommes et des femmes crier après une certaine Sarah. Apparemment, la petite fille n’entendait pas ces voix ; les Hommes n’ont pas cette chance.
Le lynx demande alors à la petite : - « Est-ce que tu t’appelles Sarah ? »
-« Oui ! » répond la fillette.
-« Alors suis-moi, je te ramène chez toi ! »
En
voyant leur enfant, les hommes crièrent de joie. Mais quand ils la voient avec le lynx, ils braquèrent leur fusil vers Stéphane. Sarah
s’interposa et cria :-« Je vous en supplie, il m’a sauvé la
vie ! Laissez-le tranquille, épargnez-le et épargnez les animaux de la
forêt ! »
Le père, qui était le chef du village, écouta sa fille et promis de faire de la montagne un endroit paisible pour les animaux.
Il promit d’interdire la chasse sauf pour se nourrir!
Voilà Stéphane heureux d’avoir écouté son cœur et compris que l’homme aussi avait cette faculté,
lorsqu’il prenait le temps de le faire.
Le père, qui était le chef du village, écouta sa fille et promis de faire de la montagne un endroit paisible pour les animaux.
Il promit d’interdire la chasse sauf pour se nourrir!
Voilà Stéphane heureux d’avoir écouté son cœur et compris que l’homme aussi avait cette faculté,
lorsqu’il prenait le temps de le faire.
Fin
L'union fait la force
Esteban, Gentiana, Aurore, Hakim et Océane
L’histoire se passe dans une forêt.
Il était une fois, un lynx qui s’appelait Roger.
Esteban, Gentiana, Aurore, Hakim et Océane
L’histoire se passe dans une forêt.
Il était une fois, un lynx qui s’appelait Roger.
Un jour, Roger se promène dans cette forêt quand, tout à coup, il aperçoit un ours qui est en train de pleurer. -« Que se passe-t-il ? Pourquoi pleures-tu ? » L’ours lui répond :-« J’ai très faim ! J’aimerais attraper du poisson. Avant, quand j’étais petit, il y avait beaucoup de poissons dans cette rivière et maintenant, il n’y en a plus ! ». |
Roger lui propose de l’aide et de trouver autre chose à manger.
L’ours accepte son aide.
En chemin, ils rencontrent un loup et un renard. Ils se présentent : le loup s’appelle Batista et le renard s’appelle Jonsina.
L’ours explique son problème à ses nouveaux amis.
Le loup pense avoir trouvé une solution.
Il connaît une personne qui a des abeilles.
Le renard ne comprend pas et dit :-« Un ours ne mange pas des abeilles ! »
L’ours, lui, a compris. Il va bientôt pouvoir se nourrir de miel. Il est très heureux et remercie ses nouveaux amis.
Le renard ne comprend pas et dit :-« Un ours ne mange pas des abeilles ! »
L’ours, lui, a compris. Il va bientôt pouvoir se nourrir de miel. Il est très heureux et remercie ses nouveaux amis.
Périple
dans la forêt des morts
Les enfants de Mini-Anneessens, extra-scolaire, Bruxelles
Les enfants de Mini-Anneessens, extra-scolaire, Bruxelles
Il était une fois une famille de renard qui vivait dans une immense forêt
depuis vingt-cinq ans. Le pelage du papa était blanc clair et il s’appelait Jean-Claude. La maman avait le pelage orange clair et
s’appelait Marie-Antoinette. Ils avaient
deux petits : l’un s’appelait Speedy car il courait très vite, et l’autre
s’appelait Pattes-Blanches car il avait les pattes blanches.
La famille habitait près d’une rivière tout près d’un buisson rempli de baies, de framboises et de myrtilles où se cachaient plein de lapins.
C’était l’hiver et il faisait très froid. Il neigeait beaucoup, et à cause de ça les hommes ne travaillaient pas. Ils restèrent sans travail et ils décidèrent donc de chasser les renards pour leur fourrure qui coûte très cher.
Un jour, Speedy et Pattes-Blanches dans leur balade quotidienne dans la forêt ont rencontré un redoutable chasseur qui chassait les animaux. Apeurés, ils s’échappent et se cachent chez eux. Les parents, étonnés, demandent à leurs petits :
« Qu’est ce qui se passe ? »
Ils racontent qu’ils ont rencontré un chasseur avec un grand fusil. Pour protéger leurs petits, ils décident d’appeler Pablo, l’ours. Celui-ci est aussi habitant de la Forêt des Morts et est l’ami de la famille de renards.
Les parents cherchent un nouvel abri. Ils décident d’aller dans une autre forêt, la Forêt de la Justice. Il y a une autoroute qui sépare les deux forêts. Ils traversent cette autoroute et rentrent dans l’autre forêt. La forêt est immense et a l’air calme, loin des hommes.
La famille habitait près d’une rivière tout près d’un buisson rempli de baies, de framboises et de myrtilles où se cachaient plein de lapins.
C’était l’hiver et il faisait très froid. Il neigeait beaucoup, et à cause de ça les hommes ne travaillaient pas. Ils restèrent sans travail et ils décidèrent donc de chasser les renards pour leur fourrure qui coûte très cher.
Un jour, Speedy et Pattes-Blanches dans leur balade quotidienne dans la forêt ont rencontré un redoutable chasseur qui chassait les animaux. Apeurés, ils s’échappent et se cachent chez eux. Les parents, étonnés, demandent à leurs petits :
« Qu’est ce qui se passe ? »
Ils racontent qu’ils ont rencontré un chasseur avec un grand fusil. Pour protéger leurs petits, ils décident d’appeler Pablo, l’ours. Celui-ci est aussi habitant de la Forêt des Morts et est l’ami de la famille de renards.
Les parents cherchent un nouvel abri. Ils décident d’aller dans une autre forêt, la Forêt de la Justice. Il y a une autoroute qui sépare les deux forêts. Ils traversent cette autoroute et rentrent dans l’autre forêt. La forêt est immense et a l’air calme, loin des hommes.
Et là, surgissant de nulle part, un cerf, grand, dont le pelage brun et
soyeux couvre son corps, se met face aux renards. C’est Casse-Coude, roi de la Forêt
de la Justice. Il veut savoir ce qui amène les renards sur son territoire. Ceux-ci
expliquent leurs problèmes et demandent asile à Casse-Coude. Le roi de la forêt
accepte d’héberger les renards, il leur trouve un abri.
Jean-Claude et Marie-Antoinette décident de revenir dans la forêt pour aller récupérer leurs petits. Mais pendant le trajet ils rencontrent des chasseurs. Ils veulent tuer les renards. Pablo, l’ours gardien de la forêt, les a vus. Il se met à deux pattes devant les chasseurs et crie à pleins poumons. Les hommes ont très peur et s’enfuient en courant.
Jean-Claude et Marie-Antoinette prennent Speedy et Pattes-Blanches et les emmènent à la Forêt de la Justice. Ils vécurent heureux et en paix en compagnie des autres habitants de la forêt mais leur maison leur manquait.
Quelques années plus tard, le roi Philippe interdit la chasse aux renards car l’espèce est en voie d’extinction. Il offre une prime aux hommes pour pouvoir sauvegarder la forêt, ceux-ci devront protéger les animaux ainsi que les arbres.
La famille renard apprend cette nouvelle et décide de quitter la Forêt de la Justice pour retourner à la Forêt des Morts et retrouver tous leurs amis. Arrivés dans leur abri, ils retrouvent Pablo qui les attendaient.
Ils vécurent de paisibles jours dans leurs forêts et les hommes ne les embêtèrent plus.
Jean-Claude et Marie-Antoinette décident de revenir dans la forêt pour aller récupérer leurs petits. Mais pendant le trajet ils rencontrent des chasseurs. Ils veulent tuer les renards. Pablo, l’ours gardien de la forêt, les a vus. Il se met à deux pattes devant les chasseurs et crie à pleins poumons. Les hommes ont très peur et s’enfuient en courant.
Jean-Claude et Marie-Antoinette prennent Speedy et Pattes-Blanches et les emmènent à la Forêt de la Justice. Ils vécurent heureux et en paix en compagnie des autres habitants de la forêt mais leur maison leur manquait.
Quelques années plus tard, le roi Philippe interdit la chasse aux renards car l’espèce est en voie d’extinction. Il offre une prime aux hommes pour pouvoir sauvegarder la forêt, ceux-ci devront protéger les animaux ainsi que les arbres.
La famille renard apprend cette nouvelle et décide de quitter la Forêt de la Justice pour retourner à la Forêt des Morts et retrouver tous leurs amis. Arrivés dans leur abri, ils retrouvent Pablo qui les attendaient.
Ils vécurent de paisibles jours dans leurs forêts et les hommes ne les embêtèrent plus.
Morale : Nous devons préserver
le monde animalier car des animaux sont en voie d’extinction.
Contes de la classe de langage de Mme Murielle
École la Petite Source (Grez-Doiceau)
École la Petite Source (Grez-Doiceau)
Les loups
Classe de Mme Dhyne, IESFCF La Roseraie (Braine-le-Comte), 9-12 ans
Classe de Mme Dhyne, IESFCF La Roseraie (Braine-le-Comte), 9-12 ans
Igor et
le Prince des Loups
Arnaud, Maëlle, Thibaut, Camille, David, Zoé, Miguel, Marilise, Guillaume, Roxane, Achille, Sara, Edouard, Sara, Marco, Clara, Quim, Clara, Nathan, Livia, Mathieu, Mathéo, Théo, Théo et Madame Cécile, 3e primaire, Ecole Sainte-Anne (Waterloo)
Arnaud, Maëlle, Thibaut, Camille, David, Zoé, Miguel, Marilise, Guillaume, Roxane, Achille, Sara, Edouard, Sara, Marco, Clara, Quim, Clara, Nathan, Livia, Mathieu, Mathéo, Théo, Théo et Madame Cécile, 3e primaire, Ecole Sainte-Anne (Waterloo)
Il était une fois, il y a bien longtemps, au temps où l’Europe était couverte de forêts profondes et mystérieuses, un petit pays serré entre des montagnes.
Dans ce pays, vivaient un veuf et sa fille. Le père, Igor, était tanneur et sa fille, Petrouchka, cousait à merveille. Ils étaient connus car ils fabriquaient les plus beaux vêtements de tout le pays. Ils utilisaient des peaux de bêtes qu’ils chassaient dans les grandes forêts: des loups, des hermines, des ours et même des chevreuils. Les Princes et les Princesses des alentours ne s’habillaient qu’avec ces magnifiques habits.
Un jour de novembre, Igor était parti relever ses pièges à loups avec son fidèle faucon surnommé Éclair. Le ciel était sombre et menaçant. Le vent sifflait dans les grands arbres et Igor, bien qu’habitué, fut impressionné.
Soudain, un long cri se fit entendre dans les montagnes. Le chasseur reconnut le cri d’un loup blessé.
Il marcha longtemps avant de découvrir un magnifique loup qui le regardait fixement. La belle fourrure de l’animal était tachée de sang. Ils s’observèrent ainsi un long moment.
Soudain, l’animal rompit le silence :
- Igor, ne me tue pas. Je suis le Prince des Loups. Le sorcier des Grandes Steppes m’a jeté un sort il y a bien longtemps.
Igor était stupéfait et n’en croyait pas ses oreilles, mais écouta l’histoire que lui raconta l’animal :
- Un jour, je me promenais dans les bois lorsque je vis un homme vêtu d’une longue robe noire qui était en train de tuer un loup.
J’ai voulu défendre le loup mais le sorcier s’est vengé en me transformant en loup en me disant : "On ne contrarie pas le Sorcier
des Grandes Steppes, mais puisque tu aimes tant les loups, tu vivras désormais toute ta vie parmi eux !"
Et soudain, je me suis retrouvé dans la peau d’un loup. Le sorcier ajouta :
"Regarde bien cette potion ! C’est la seule qui peut anéantir le sort que je t’ai jeté. Désolé de te décourager mais tu ne la
récupéreras jamais, car c’est ton destin. À moins que tu n’arrives à rentrer dans la tour grâce à ce diamant que tu vois sur ma
couronne et bien sûr, à affronter le lynx qui garde l’entrée. Je te laisse 12 pleines lunes pour y arriver, sinon, tu resteras toute
ta vie un loup."
Et le sorcier disparut dans un ricanement maléfique.
Ému par l’histoire du Prince des Loups, Igor lui promit de l’aider et le ramena auprès de Petrouchka afin qu’elle soigne sa patte blessée. Il partit ensuite avec son faucon à la recherche du château du Sorcier des Grandes Steppes.
Après plusieurs jours de marche, Igor découvrit le château et envoya Eclair pour récupérer la couronne du sorcier. Celle-ci était posée à côté de son lit et le faucon l’échangea avec une fausse couronne.
Ils se dirigèrent ensuite vers la tour.
Comme prévu, un lynx menaçant gardait la porte. Il était enchaîné, attaché et probablement affamé. En fait, il était prisonnier du Sorcier depuis bien longtemps.
Igor lui proposa de le libérer en échange de son aide.
Le lynx accepta et laissa Igor entrer dans la tour. Celui-ci récupéra la potion et la cacha dans sa manche.
Entre-temps, le sorcier, alerté par le bruit, s’était réveillé et approchait de la tour.
Éclair qui survolait la tour l’aperçut et alerta Igor. Mais c’était trop tard le sorcier sauta sur Igor et ils se battirent dans un fracas épouvantable. Soudain Igor aperçut deux yeux jaunes. C’était le Prince des loups qui, guéri de sa blessure, venait lui prêter main-forte.
Igor lui lança la potion. Le Prince des loups avala le liquide et en quelques secondes reprit sa forme humaine. Il tira son épée scintillante et tua le sorcier d’un seul coup.
C’est ainsi qu’Igor et le Prince purent retourner sains et saufs au village.
Petrouchka et le prince se marièrent et vécurent heureux jusqu’à la fin des temps.
Fin
Dans ce pays, vivaient un veuf et sa fille. Le père, Igor, était tanneur et sa fille, Petrouchka, cousait à merveille. Ils étaient connus car ils fabriquaient les plus beaux vêtements de tout le pays. Ils utilisaient des peaux de bêtes qu’ils chassaient dans les grandes forêts: des loups, des hermines, des ours et même des chevreuils. Les Princes et les Princesses des alentours ne s’habillaient qu’avec ces magnifiques habits.
Un jour de novembre, Igor était parti relever ses pièges à loups avec son fidèle faucon surnommé Éclair. Le ciel était sombre et menaçant. Le vent sifflait dans les grands arbres et Igor, bien qu’habitué, fut impressionné.
Soudain, un long cri se fit entendre dans les montagnes. Le chasseur reconnut le cri d’un loup blessé.
Il marcha longtemps avant de découvrir un magnifique loup qui le regardait fixement. La belle fourrure de l’animal était tachée de sang. Ils s’observèrent ainsi un long moment.
Soudain, l’animal rompit le silence :
- Igor, ne me tue pas. Je suis le Prince des Loups. Le sorcier des Grandes Steppes m’a jeté un sort il y a bien longtemps.
Igor était stupéfait et n’en croyait pas ses oreilles, mais écouta l’histoire que lui raconta l’animal :
- Un jour, je me promenais dans les bois lorsque je vis un homme vêtu d’une longue robe noire qui était en train de tuer un loup.
J’ai voulu défendre le loup mais le sorcier s’est vengé en me transformant en loup en me disant : "On ne contrarie pas le Sorcier
des Grandes Steppes, mais puisque tu aimes tant les loups, tu vivras désormais toute ta vie parmi eux !"
Et soudain, je me suis retrouvé dans la peau d’un loup. Le sorcier ajouta :
"Regarde bien cette potion ! C’est la seule qui peut anéantir le sort que je t’ai jeté. Désolé de te décourager mais tu ne la
récupéreras jamais, car c’est ton destin. À moins que tu n’arrives à rentrer dans la tour grâce à ce diamant que tu vois sur ma
couronne et bien sûr, à affronter le lynx qui garde l’entrée. Je te laisse 12 pleines lunes pour y arriver, sinon, tu resteras toute
ta vie un loup."
Et le sorcier disparut dans un ricanement maléfique.
Ému par l’histoire du Prince des Loups, Igor lui promit de l’aider et le ramena auprès de Petrouchka afin qu’elle soigne sa patte blessée. Il partit ensuite avec son faucon à la recherche du château du Sorcier des Grandes Steppes.
Après plusieurs jours de marche, Igor découvrit le château et envoya Eclair pour récupérer la couronne du sorcier. Celle-ci était posée à côté de son lit et le faucon l’échangea avec une fausse couronne.
Ils se dirigèrent ensuite vers la tour.
Comme prévu, un lynx menaçant gardait la porte. Il était enchaîné, attaché et probablement affamé. En fait, il était prisonnier du Sorcier depuis bien longtemps.
Igor lui proposa de le libérer en échange de son aide.
Le lynx accepta et laissa Igor entrer dans la tour. Celui-ci récupéra la potion et la cacha dans sa manche.
Entre-temps, le sorcier, alerté par le bruit, s’était réveillé et approchait de la tour.
Éclair qui survolait la tour l’aperçut et alerta Igor. Mais c’était trop tard le sorcier sauta sur Igor et ils se battirent dans un fracas épouvantable. Soudain Igor aperçut deux yeux jaunes. C’était le Prince des loups qui, guéri de sa blessure, venait lui prêter main-forte.
Igor lui lança la potion. Le Prince des loups avala le liquide et en quelques secondes reprit sa forme humaine. Il tira son épée scintillante et tua le sorcier d’un seul coup.
C’est ainsi qu’Igor et le Prince purent retourner sains et saufs au village.
Petrouchka et le prince se marièrent et vécurent heureux jusqu’à la fin des temps.
Fin
Les contes de l'école communale de Membach
4e primaire
4e primaire
Les problèmes de la famille lynx
Rémi, Gioia, Catherine
Il était une fois un lynx et sa famille qui vivaient dans une montagne pleine de neige.
Ils avaient une vie paisible, jusqu’au jour où le soleil est devenu intenable. Il faisait chaud, très chaud. Ils avaient soif et très faim. Tous les animaux se cachaient, l’eau devenait rare. Ils se demandaient ce qu’ils pourraient faire.
« A l’aide, à l’aide ! » criait la famille lynx.
Toute la famille partit à l’aventure pour trouver à manger et un nouvel habitat.
Elle parcourut la montagne et trouva un ours, et un des petits lynx dit à l’ours :
« Salut, comment t’appelles-tu ? »
L’ours répondit : « Bonjour, je m’appelle Bernard et toi, petit, que cherches-tu ? »
Le petit répondit : « Nous cherchons à manger et une nouvelle maison. Tu peux nous aider ? »
L’ours répondit : « Bien sûr, je connais une maison tout près d’ici, mais il faut traverser la Forêt noire. Mais cette forêt est très dangereuse, et on raconte même qu’elle est hantée »
Le petit répondit : « Mais qu’est-ce qu’il y a de dangereux dans cette forêt ? »
L’ours lui dit : « Il y a des arbres qui tombent et il y a même une grotte hantée »
« Ok » répond le papa lynx, et tous partent dans la Forêt noire.
Plus tard, ils rencontrent une famille de loups très méchante.
Le papa loup dit : « Si vous voulez passer le papa lynx doit se battre »
« Ok » dit le papa lynx.
Ils se battent et le papa lynx est vainqueur. Ils continuent donc leur chemin.
Puis la maman lynx dit : « Arrêtez-vous, voilà la grotte hantée ! »
Les arbres commencent à tomber et certains esprits viennent dire :
« Si vous voulez continuer, vous devez passer l’épreuve mortelle, et si vous réussissez nous vous laisserons tranquilles pour la vie entière. Mais, si vous échouez, nous vous enterrons pour toujours. Vous acceptez ou vous voulez vous faire tuer ? »
La maman lynx répondit : « Nous voulons bien passer l’épreuve mortelle ! »
Ils commencent l’épreuve : d’abord, il faut éviter des arbres tombant de partout, puis il faut faire une course de feu et pour finir il ne faut pas se faire attraper par les léopards des neige.
Après tous ces tests, on entend crier :
« Youpi, youpi » La famille lynx a réussi, et Bernard leur montre leur maison.
Rémi, Gioia, Catherine
Il était une fois un lynx et sa famille qui vivaient dans une montagne pleine de neige.
Ils avaient une vie paisible, jusqu’au jour où le soleil est devenu intenable. Il faisait chaud, très chaud. Ils avaient soif et très faim. Tous les animaux se cachaient, l’eau devenait rare. Ils se demandaient ce qu’ils pourraient faire.
« A l’aide, à l’aide ! » criait la famille lynx.
Toute la famille partit à l’aventure pour trouver à manger et un nouvel habitat.
Elle parcourut la montagne et trouva un ours, et un des petits lynx dit à l’ours :
« Salut, comment t’appelles-tu ? »
L’ours répondit : « Bonjour, je m’appelle Bernard et toi, petit, que cherches-tu ? »
Le petit répondit : « Nous cherchons à manger et une nouvelle maison. Tu peux nous aider ? »
L’ours répondit : « Bien sûr, je connais une maison tout près d’ici, mais il faut traverser la Forêt noire. Mais cette forêt est très dangereuse, et on raconte même qu’elle est hantée »
Le petit répondit : « Mais qu’est-ce qu’il y a de dangereux dans cette forêt ? »
L’ours lui dit : « Il y a des arbres qui tombent et il y a même une grotte hantée »
« Ok » répond le papa lynx, et tous partent dans la Forêt noire.
Plus tard, ils rencontrent une famille de loups très méchante.
Le papa loup dit : « Si vous voulez passer le papa lynx doit se battre »
« Ok » dit le papa lynx.
Ils se battent et le papa lynx est vainqueur. Ils continuent donc leur chemin.
Puis la maman lynx dit : « Arrêtez-vous, voilà la grotte hantée ! »
Les arbres commencent à tomber et certains esprits viennent dire :
« Si vous voulez continuer, vous devez passer l’épreuve mortelle, et si vous réussissez nous vous laisserons tranquilles pour la vie entière. Mais, si vous échouez, nous vous enterrons pour toujours. Vous acceptez ou vous voulez vous faire tuer ? »
La maman lynx répondit : « Nous voulons bien passer l’épreuve mortelle ! »
Ils commencent l’épreuve : d’abord, il faut éviter des arbres tombant de partout, puis il faut faire une course de feu et pour finir il ne faut pas se faire attraper par les léopards des neige.
Après tous ces tests, on entend crier :
« Youpi, youpi » La famille lynx a réussi, et Bernard leur montre leur maison.
La
perte des ours
Marie, Lisa, Nathan, Laurent
Il était une fois une famille ours qui déjeunait. Cette famille vivait dans une villa et tous se demandaient pourquoi la villa était toujours si propre. Un jour, un léopard voulut savoir et se rendit chez cette famille.
« Je vais aller voir cette famille »
Il entra et la famille se présenta :
- « Je suis le papa ours, je m’appelle Boumpita »
- « Je suis la maman ours, je m’appelle Chinquara et nos 3 enfants
s’appellent Bouckara, Boumba et Minilouise »
Mais tout à coup, la villa cassa. Boumba avait si peur qu’il s’enfuit.
On ne trouvait plus Boumba.
- « Je l’ai vu partir par là »
- « C’est vrai, Minilouise ? »
- « Oui, oui, j’en suis certaine. Il est parti par là »
- « D’accord, on va partir de ce côté »
Bouckara voit des baies et en mange une. Il devient malade.
Sa maman le regarde et lui dit qu’il est trop malade pour poursuivre le chemin.
Elle trouve un très grand nid d’oiseau et tous s’y couchent bien au chaud.
Pendant la nuit, l’oiseau revient. Pas de chance, c’est un aigle !!!
La famille ours sort du nid, sauf Bouckara, trop faible.
L’aigle l’avale. Après, l’aigle pond un œuf et Bouckara sort de l’œuf : il n’est plus malade. La famille ours remarque que l’aigle est gentil. Elle remercie l’aigle de l’avoir guéri. Ils reprennent le chemin et voient une petite bête brune qui se balade. C’est Boumba !
L’aigle revient et dit : « c’est le léopard qui a cassé votre villa »
Plus tard, le léopard explique pourquoi il a cassé la villa : c’était pour voir comment ils faisaient pour avoir un abri si propre.
« On fait comme tout le monde ! C’est pas parce qu’on est des ours… »
Le léopard répare la maison et regrette ce qu’il a fait.
À présent, ils vivent heureux, et ce jusqu’à la fin des temps.
Marie, Lisa, Nathan, Laurent
Il était une fois une famille ours qui déjeunait. Cette famille vivait dans une villa et tous se demandaient pourquoi la villa était toujours si propre. Un jour, un léopard voulut savoir et se rendit chez cette famille.
« Je vais aller voir cette famille »
Il entra et la famille se présenta :
- « Je suis le papa ours, je m’appelle Boumpita »
- « Je suis la maman ours, je m’appelle Chinquara et nos 3 enfants
s’appellent Bouckara, Boumba et Minilouise »
Mais tout à coup, la villa cassa. Boumba avait si peur qu’il s’enfuit.
On ne trouvait plus Boumba.
- « Je l’ai vu partir par là »
- « C’est vrai, Minilouise ? »
- « Oui, oui, j’en suis certaine. Il est parti par là »
- « D’accord, on va partir de ce côté »
Bouckara voit des baies et en mange une. Il devient malade.
Sa maman le regarde et lui dit qu’il est trop malade pour poursuivre le chemin.
Elle trouve un très grand nid d’oiseau et tous s’y couchent bien au chaud.
Pendant la nuit, l’oiseau revient. Pas de chance, c’est un aigle !!!
La famille ours sort du nid, sauf Bouckara, trop faible.
L’aigle l’avale. Après, l’aigle pond un œuf et Bouckara sort de l’œuf : il n’est plus malade. La famille ours remarque que l’aigle est gentil. Elle remercie l’aigle de l’avoir guéri. Ils reprennent le chemin et voient une petite bête brune qui se balade. C’est Boumba !
L’aigle revient et dit : « c’est le léopard qui a cassé votre villa »
Plus tard, le léopard explique pourquoi il a cassé la villa : c’était pour voir comment ils faisaient pour avoir un abri si propre.
« On fait comme tout le monde ! C’est pas parce qu’on est des ours… »
Le léopard répare la maison et regrette ce qu’il a fait.
À présent, ils vivent heureux, et ce jusqu’à la fin des temps.
Le
renard
Maéva, Luca, Nuria, Estéban
Il était une fois un renard qui s’appelait Garou. Il était dans son terrier avec sa femelle et ses renardeaux.
Les humains ont cassé leur terrier. Ils en cherchent un nouveau et ils trouvent une caverne. Mais celle-ci est habitée par un ours maléfique qui s’appelle Esteban. L’ours jette un sort à Garou. Chaque nuit, à minuit, il se transformera en loup-garou.
Garou va voir son ami le magicien Luca. Il lui raconte son histoire. Luca comprend, il prend son livre magique, cherche la potion qui rendra sa vraie nature à Garou. Mais il lui manque un ingrédient, c’est une plante très rare. Garou décide donc de partir à l’aventure.
Mais, il a très faim et très soif. Il part chasser, mais il perd beaucoup de temps et prend le mauvais chemin.
Il finit enfin par retrouver ses traces et continue son chemin. Il trouve par hasard la plante et la ramène au magicien Luca.
Maintenant, Luca peut faire sa potion magique.
Garou peut redevenir normal.
Maéva, Luca, Nuria, Estéban
Il était une fois un renard qui s’appelait Garou. Il était dans son terrier avec sa femelle et ses renardeaux.
Les humains ont cassé leur terrier. Ils en cherchent un nouveau et ils trouvent une caverne. Mais celle-ci est habitée par un ours maléfique qui s’appelle Esteban. L’ours jette un sort à Garou. Chaque nuit, à minuit, il se transformera en loup-garou.
Garou va voir son ami le magicien Luca. Il lui raconte son histoire. Luca comprend, il prend son livre magique, cherche la potion qui rendra sa vraie nature à Garou. Mais il lui manque un ingrédient, c’est une plante très rare. Garou décide donc de partir à l’aventure.
Mais, il a très faim et très soif. Il part chasser, mais il perd beaucoup de temps et prend le mauvais chemin.
Il finit enfin par retrouver ses traces et continue son chemin. Il trouve par hasard la plante et la ramène au magicien Luca.
Maintenant, Luca peut faire sa potion magique.
Garou peut redevenir normal.
Martin
le faucon
Lena, Damien, Hugo, Sébastien
Il était une fois un faucon pèlerin qui se nommait Martin.
Il était amoureux d’une princesse qui dirigeait avec son père le royaume volant. Mais il y avait un jeune homme, nommé Philippe, qui était lui aussi amoureux de la princesse, mais lui, c’était pour sa richesse.
Le roi prépara des épreuves que les 2 amoureux devraient subir pour décider lequel des 2 épouserait sa fille, Plume Blanche.
Tout le peuple vint voir les épreuves.
La première épreuve était une course volante au-dessus d’un cratère. Martin gagna la course.
La deuxième épreuve était d’attraper le plus vite possible une proie. Cette fois, c’est Philippe qui gagna.
La troisième épreuve était l’épreuve décisive : le plus grand cri !
Martin gagna l’épreuve avec grand succès.
Le roi était heureux car il avait remarqué que Philippe n’était pas un homme bon.
Tous les habitants du royaume organisèrent la mariage mais Philippe resta chez lui. Le mariage se déroula avec joie.
Quelques années plus tard, Martin et Plume Blanche eurent trois enfants. Ils se nommaient Noémie, Benjamin et Julian, et ils vécurent heureux.
Lena, Damien, Hugo, Sébastien
Il était une fois un faucon pèlerin qui se nommait Martin.
Il était amoureux d’une princesse qui dirigeait avec son père le royaume volant. Mais il y avait un jeune homme, nommé Philippe, qui était lui aussi amoureux de la princesse, mais lui, c’était pour sa richesse.
Le roi prépara des épreuves que les 2 amoureux devraient subir pour décider lequel des 2 épouserait sa fille, Plume Blanche.
Tout le peuple vint voir les épreuves.
La première épreuve était une course volante au-dessus d’un cratère. Martin gagna la course.
La deuxième épreuve était d’attraper le plus vite possible une proie. Cette fois, c’est Philippe qui gagna.
La troisième épreuve était l’épreuve décisive : le plus grand cri !
Martin gagna l’épreuve avec grand succès.
Le roi était heureux car il avait remarqué que Philippe n’était pas un homme bon.
Tous les habitants du royaume organisèrent la mariage mais Philippe resta chez lui. Le mariage se déroula avec joie.
Quelques années plus tard, Martin et Plume Blanche eurent trois enfants. Ils se nommaient Noémie, Benjamin et Julian, et ils vécurent heureux.
Le petit
loup bleu
Tim, Noah, Valérie-Anne
Il était une fois un petit loup bleu qui vivait dans la forêt.
Ses copains se moquaient de lui parce qu’il était bleu.
« Pourquoi, suis-je bleu ? » se dit-il.
« J’ai une idée. Je dois me déguiser »
Il alla dans un magasin d’habits.
« Du bleu » proposa la marchande.
« Non, plus de bleu ! Du gris, s’il vous plait » dit le loup.
Il se déguisa en gris et il alla dans la forêt jouer au ballon avec ses copains.
Mais ses copains se moquaient encore de lui car il avait oublié de déguiser sa queue,
et il partit en courant.
Il alla dans un magasin de peinture et s’acheta un pot de peinture grise. Il mit la peinture sur lui sans oublier sa queue cette fois.
Il alla dans la forêt, mais sur le chemin, la peinture séchait et il étouffa.
Une fée arriva et le libéra.
- « C’est quoi ton problème ? »
- « J’aimerais être gris »
- « Abracadabra » et boing, elle le transforma en poisson. Puis « Abracadabra » et boing, elle le transforma en crapaud.
- « Je suis désolée » dit la fée
Elle redit « Abracadabra » et boing… enfin il devint gris, et depuis il joue avec ses copains dans la forêt.
Tim, Noah, Valérie-Anne
Il était une fois un petit loup bleu qui vivait dans la forêt.
Ses copains se moquaient de lui parce qu’il était bleu.
« Pourquoi, suis-je bleu ? » se dit-il.
« J’ai une idée. Je dois me déguiser »
Il alla dans un magasin d’habits.
« Du bleu » proposa la marchande.
« Non, plus de bleu ! Du gris, s’il vous plait » dit le loup.
Il se déguisa en gris et il alla dans la forêt jouer au ballon avec ses copains.
Mais ses copains se moquaient encore de lui car il avait oublié de déguiser sa queue,
et il partit en courant.
Il alla dans un magasin de peinture et s’acheta un pot de peinture grise. Il mit la peinture sur lui sans oublier sa queue cette fois.
Il alla dans la forêt, mais sur le chemin, la peinture séchait et il étouffa.
Une fée arriva et le libéra.
- « C’est quoi ton problème ? »
- « J’aimerais être gris »
- « Abracadabra » et boing, elle le transforma en poisson. Puis « Abracadabra » et boing, elle le transforma en crapaud.
- « Je suis désolée » dit la fée
Elle redit « Abracadabra » et boing… enfin il devint gris, et depuis il joue avec ses copains dans la forêt.
Le
cerf qui cherche une amoureuse
Inès, Luba, Dorian, Lars
Il était une fois un petit cerf qui s’appelait Louis.
Il avait une sœur et deux frères. Sa sœur s’appelait Emilie, et ses frères, Tom et Tomi.
Ils vivaient en Belgique avec leurs parents. Les parents s’appelaient Anne et Nicolas.
Le printemps arriva. Comme vous le savez tous, les cerfs cherchent leur amoureuse.
À la fin du printemps, tout le monde avait trouvé son amoureuse, sauf Louis.
Il était tout triste car il n’avait pas d’amoureuse. Il allait dans la forêt. Il voyait ses copains à travers le feuillage. Un de ses copains dit : « Louis, tu a trouvé une amoureuse ? » et Louis répondait : « Non » avec désespoir. Ses copains se moquaient de lui. Chaque jour, Louis rentrait en pleurant à la maison.
Sa maman lui dit : « Ce n’est pas grave Louis, tu en trouveras une l’an prochain. »
Louis répondait : « Peut-être », et il partait en forêt.
Un jour, il entendit quelqu’un pleurer. Et il vit une biche. Il s’approcha et lui demanda : « Qu’est-ce que tu as ? »
La biche répondit : « Je n’ai pas d’amoureux »
Et Louis dit : « C’est bizarre, moi non plus, je n’ai pas d’amoureuse. Et si on se mettait ensemble ? »
La biche répondit : « Oh, oui ! »
Louis dit : « Comment t’appelles-tu ? »
« Maria »
« Moi, je m’appelle Louis »
Et ensuite, ils partirent vers sa maison. Louis présenta Maria.
Sa maman et son papa dirent : « Félicitations, Louis ! »
Emilie, Tom et Tony disaient : « Bravo, Louis ».
Puis les deux amoureux allèrent chez les parents de Maria. Elle présenta Louis, ses parents en étaient ravis.
Ils gambadèrent dans la forêt et trouvèrent une très jolie maison. Ils y entrèrent. Heureuse, Maria dit « On va l’habiter ».
Deux ans plus tard, ils eurent quatre enfants : Inès, Luba, Lionel et Guillaume.
Ils vécurent heureux pour la vie.
Inès, Luba, Dorian, Lars
Il était une fois un petit cerf qui s’appelait Louis.
Il avait une sœur et deux frères. Sa sœur s’appelait Emilie, et ses frères, Tom et Tomi.
Ils vivaient en Belgique avec leurs parents. Les parents s’appelaient Anne et Nicolas.
Le printemps arriva. Comme vous le savez tous, les cerfs cherchent leur amoureuse.
À la fin du printemps, tout le monde avait trouvé son amoureuse, sauf Louis.
Il était tout triste car il n’avait pas d’amoureuse. Il allait dans la forêt. Il voyait ses copains à travers le feuillage. Un de ses copains dit : « Louis, tu a trouvé une amoureuse ? » et Louis répondait : « Non » avec désespoir. Ses copains se moquaient de lui. Chaque jour, Louis rentrait en pleurant à la maison.
Sa maman lui dit : « Ce n’est pas grave Louis, tu en trouveras une l’an prochain. »
Louis répondait : « Peut-être », et il partait en forêt.
Un jour, il entendit quelqu’un pleurer. Et il vit une biche. Il s’approcha et lui demanda : « Qu’est-ce que tu as ? »
La biche répondit : « Je n’ai pas d’amoureux »
Et Louis dit : « C’est bizarre, moi non plus, je n’ai pas d’amoureuse. Et si on se mettait ensemble ? »
La biche répondit : « Oh, oui ! »
Louis dit : « Comment t’appelles-tu ? »
« Maria »
« Moi, je m’appelle Louis »
Et ensuite, ils partirent vers sa maison. Louis présenta Maria.
Sa maman et son papa dirent : « Félicitations, Louis ! »
Emilie, Tom et Tony disaient : « Bravo, Louis ».
Puis les deux amoureux allèrent chez les parents de Maria. Elle présenta Louis, ses parents en étaient ravis.
Ils gambadèrent dans la forêt et trouvèrent une très jolie maison. Ils y entrèrent. Heureuse, Maria dit « On va l’habiter ».
Deux ans plus tard, ils eurent quatre enfants : Inès, Luba, Lionel et Guillaume.
Ils vécurent heureux pour la vie.
Contes de l'Ecole communale de Ligny
Classe de 6e A
Classe de 6e A
L'ours malheureux
Aline, Romain et Manon.
Il était une fois un ours qui habitait dans une grotte de Finlande.
Il voulait avoir une femme et une famille, mais les villageois voulaient tous les tuer, car il était le prédateur de beaucoup d'espèces.
Un jour, une petite fille qui aimait les animaux en voie de disparition décida de l'aider.
- Bonjour, moi c'est Sara, on dirait que tu as des problèmes ?
- Je m'appelle Pot de miel, et mon problème est que je suis tout seul.
Aussi, tout le monde me déteste.
- Moi, je ne te déteste pas, Pot de miel, dit Sara.
- On peut devenir amis alors ? dit Pot de miel.
- Oh, oui bien sûr ! Comme nous sommes amis je veux bien t'aider à être accepté dans le village d'en bas.
Mais pour cela, tu dois participer à un défi, dit la petite fille.
- Oh, merci c'est très gentil. Et quel est le défi ? dit Pot de miel.
- Tu dois retrouver la reine Paola qui a été enlevée par des ours, dit Sara.
- Je suis partant !
La petite fille et Pot de miel fe mirent en route, cherchèrent longtemps. Soudain ils entendirent du bruit près de la forêt !
- Bonjour, vous pouvez m'aider à rejoindre mes parents de l'autre côté de la rivière ? dit un bébé lapin.
- Oh, bien sûr !
L'ours et Sara l'aidèrent à retrouver sa famille de l'autre côté de la rivière.
Soulagés de revoir leur enfant, les parents les remercièrent chaleureusement.
Pot de miel et Sara reprirent leur chemin. Soudain, ils rencontrèrent un escargot sans sa coquille, qui dit :
- Pourriez-vous reconstruire ma coquille dont-voici les morceaux ?
Et comme Pot de miel et Sara aimaient réaliser des puzzles, ils acceptèrent le défi. Avec une patiente inouïe, ils reconstituèrent la coquille et utilisèrent comme colle du miel. Ils parvinrent à leur fin et placèrent sa maison sur l'escargot. Tout fier, celui-ci les remercia gracieusement. Tout contents, Pot de miel et Sara reprirent leur route.
Soudain, ils virent une jolie créature.
- Bonjour, je suis la reine Paola du village d'en bas et voici mes amis les ours.
- Mais vous n'avez pas été enlevée par les ours ? Ce sont vos amis alors ? dit Sara.
- Oui, voici Bisou, il est tout roux, et Bella, elle est bellissima, dit Paola.
- Oh, mais je ne suis plus le seul ours dans toute la Finlande, alors ? Oh, c'est merveilleux !! Puis-je rester avec vous ? demanda
Pot de miel.
- Bien sûr, nous t'acceptons dans le groupe. Voici mon frère que Paola t'a présenté, dit Bella.
- Merci à vous mes nouveaux amis. Merci à toi Sara, car sans toi je serait encore dans ma grotte, dit Pot de miel.
- Mais, pourquoi êtes-vous partie, majesté ? demanda Sara.
- Je me suis disputée avec le roi. Je ne voulais pas que l'on tue tous les ours ! Alors, je suis partie à leur recherche.
Quand je les ai trouvés, je leur ai raconté que je voulais les protéger et ils m'ont accueillie les bras ouverts, dit Paola.
- Mais le roi est très triste car il ne sait pas où vous êtes. Il a envoyé ses meilleurs lieutenants à votre recherche. N'ayant aucune
nouvelle de vous, il s'est retranché dans son château et vit comme ermite. Il refuse de s'alimenter. Il faut que vous reveniez pour
l'aider à se relever de sa tristesse. Pot de miel restera avec Bisou et Bella pour les protéger. Et de temps en temps, vous pourrez
leur rendre visite, dit Sara.
- Allons-y, dit la reine Paola.
La reine et Sara reprirent le chemin du retour vers le château. De sa fenêtre, le roi aperçut la reine, prit les jambes à son cou et courut vers sa tendre aimée. Pour fêter leurs retrouvailles, il organisa une immense fête au château et invita Pot de miel, Bisou et Bella aux festivités.
Depuis ce jour, le roi instaura une loi interdisant de chasser les ours. Pot de miel, Bella et Bisou vécurent des jours heureux dans ce beau village.
Voulant accorder plus de temps à sa femme, le roi abdiqua et décida, de mettre son fils Philippe sur le trône.
Le nouveau roi adorait Sara, l'amie de Pot de miel. Il lui demanda sa main et organisa une magnifique fête lors de son mariage. A cette fête Sara n'oublia pas d'inviter la famille lapins qu'elle avait aidée, son ami l'escargot qui avait perdu sa maison, ainsi que ses grands amis Pot de miel, Bella et Bisou.
Quelques années passèrent. Pot de miel et Bella eurent deux oursons et la reine Sara et le roi Philippe eurent deux magnifiques enfants. Tout ce petit monde vécut des jours heureux dans ce merveilleux royaume finlandais où les humains et les animaux habitèrent ensemble.
Aline, Romain et Manon.
Il était une fois un ours qui habitait dans une grotte de Finlande.
Il voulait avoir une femme et une famille, mais les villageois voulaient tous les tuer, car il était le prédateur de beaucoup d'espèces.
Un jour, une petite fille qui aimait les animaux en voie de disparition décida de l'aider.
- Bonjour, moi c'est Sara, on dirait que tu as des problèmes ?
- Je m'appelle Pot de miel, et mon problème est que je suis tout seul.
Aussi, tout le monde me déteste.
- Moi, je ne te déteste pas, Pot de miel, dit Sara.
- On peut devenir amis alors ? dit Pot de miel.
- Oh, oui bien sûr ! Comme nous sommes amis je veux bien t'aider à être accepté dans le village d'en bas.
Mais pour cela, tu dois participer à un défi, dit la petite fille.
- Oh, merci c'est très gentil. Et quel est le défi ? dit Pot de miel.
- Tu dois retrouver la reine Paola qui a été enlevée par des ours, dit Sara.
- Je suis partant !
La petite fille et Pot de miel fe mirent en route, cherchèrent longtemps. Soudain ils entendirent du bruit près de la forêt !
- Bonjour, vous pouvez m'aider à rejoindre mes parents de l'autre côté de la rivière ? dit un bébé lapin.
- Oh, bien sûr !
L'ours et Sara l'aidèrent à retrouver sa famille de l'autre côté de la rivière.
Soulagés de revoir leur enfant, les parents les remercièrent chaleureusement.
Pot de miel et Sara reprirent leur chemin. Soudain, ils rencontrèrent un escargot sans sa coquille, qui dit :
- Pourriez-vous reconstruire ma coquille dont-voici les morceaux ?
Et comme Pot de miel et Sara aimaient réaliser des puzzles, ils acceptèrent le défi. Avec une patiente inouïe, ils reconstituèrent la coquille et utilisèrent comme colle du miel. Ils parvinrent à leur fin et placèrent sa maison sur l'escargot. Tout fier, celui-ci les remercia gracieusement. Tout contents, Pot de miel et Sara reprirent leur route.
Soudain, ils virent une jolie créature.
- Bonjour, je suis la reine Paola du village d'en bas et voici mes amis les ours.
- Mais vous n'avez pas été enlevée par les ours ? Ce sont vos amis alors ? dit Sara.
- Oui, voici Bisou, il est tout roux, et Bella, elle est bellissima, dit Paola.
- Oh, mais je ne suis plus le seul ours dans toute la Finlande, alors ? Oh, c'est merveilleux !! Puis-je rester avec vous ? demanda
Pot de miel.
- Bien sûr, nous t'acceptons dans le groupe. Voici mon frère que Paola t'a présenté, dit Bella.
- Merci à vous mes nouveaux amis. Merci à toi Sara, car sans toi je serait encore dans ma grotte, dit Pot de miel.
- Mais, pourquoi êtes-vous partie, majesté ? demanda Sara.
- Je me suis disputée avec le roi. Je ne voulais pas que l'on tue tous les ours ! Alors, je suis partie à leur recherche.
Quand je les ai trouvés, je leur ai raconté que je voulais les protéger et ils m'ont accueillie les bras ouverts, dit Paola.
- Mais le roi est très triste car il ne sait pas où vous êtes. Il a envoyé ses meilleurs lieutenants à votre recherche. N'ayant aucune
nouvelle de vous, il s'est retranché dans son château et vit comme ermite. Il refuse de s'alimenter. Il faut que vous reveniez pour
l'aider à se relever de sa tristesse. Pot de miel restera avec Bisou et Bella pour les protéger. Et de temps en temps, vous pourrez
leur rendre visite, dit Sara.
- Allons-y, dit la reine Paola.
La reine et Sara reprirent le chemin du retour vers le château. De sa fenêtre, le roi aperçut la reine, prit les jambes à son cou et courut vers sa tendre aimée. Pour fêter leurs retrouvailles, il organisa une immense fête au château et invita Pot de miel, Bisou et Bella aux festivités.
Depuis ce jour, le roi instaura une loi interdisant de chasser les ours. Pot de miel, Bella et Bisou vécurent des jours heureux dans ce beau village.
Voulant accorder plus de temps à sa femme, le roi abdiqua et décida, de mettre son fils Philippe sur le trône.
Le nouveau roi adorait Sara, l'amie de Pot de miel. Il lui demanda sa main et organisa une magnifique fête lors de son mariage. A cette fête Sara n'oublia pas d'inviter la famille lapins qu'elle avait aidée, son ami l'escargot qui avait perdu sa maison, ainsi que ses grands amis Pot de miel, Bella et Bisou.
Quelques années passèrent. Pot de miel et Bella eurent deux oursons et la reine Sara et le roi Philippe eurent deux magnifiques enfants. Tout ce petit monde vécut des jours heureux dans ce merveilleux royaume finlandais où les humains et les animaux habitèrent ensemble.
Le lynx et Raphaël
Satia et Antoine
II était une fois un enfant qui s'appelait Raphaël. Il vivait à côté de la Forêt Noire (en Allemagne).
Son père était un grand chasseur. Un jour, il décida d'emmener son fils à la chasse. Ils virent un lynx. Le père dit à son fils : « Celui-là, il est pour toi. Sa fourrure, elle sera très bien sur un manteau. Je pars un peu plus loin. »
Raphaël s'approcha du lynx tout tremblant.
« Oh, comme tu es mignon ! Où est ta mère...? »
Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase que son père l'interrompit et dit : « Tu l'as eu ? Regarde. J'en ai eu un. Quelle belle fourrure ! »
A ces mots, le petit lynx s'enfuit.
Tout triste, Raphaël dit : « Je crois que tu as tué sa maman ».
Le lendemain matin, Raphaël décida d'aller chercher du bois dans la forêt pour le feu. Il mit ses bottes et son manteau, sortit de la maison et se mit à la recherche du lynx au lieu de ramasser du bois. Soudain, il entendit un cri et courut aussitôt.
Il vit le petit apeuré devant un loup. Raphaël saisit un bâton et fit de grands gestes pour effrayer l'animal. Celui-ci s'en alla.
Le garçon courut près du petit. Le lynx, tout apeuré, recula mais finit par se laisser apprivoiser. Délicatement, il le prit dans ses bras, le cacha sous son pull, ramassa un fagot de bois et prit le chemin du retour.
Dès qu'il arriva, il se précipita dans sa chambre et cacha son ami sous le lit. Il décida de l'appeler « Caramel ».
Chaque jour, lors du souper, Raphaël cachait quelques morceaux de viande dans sa poche. Après s'être levé de table, il se précipitait dans sa chambre pour les apporter à son compagnon. Les années passèrent et Caramel était devenu adulte. Sa fourrure brillait de mille feux.
Un soir, le papa entendit du bruit. Inquiet, il alla dans la chambre de son fils. Dés qu'il ouvrit la porte, il vit avec stupeur Caramel sur Raphaël. Croyant son fils en danger, il se précipita vers son fusil, le prit et le pointa sur l'animal. Raphaël sauta du lit, se mit devant son ami et cria: « Non, papa, ne le tue pas, c'est mon ami ! Je l'ai apprivoisé sans que tu le saches »
« Je veux bien le garder jusqu'à demain mais ensuite tu iras le relâcher dans la forêt», dit le père.
« Ah non, je l'ai depuis qu'il est bébé et il n'est pas habitué à vivre en plaine nature », s'écrie Raphaël.
« C'est un animal sauvage, sa place n'est pas ici ! »
Cette nuit-là, Raphaël décida de partir avec Caramel et de se cacher dans la forêt. Le matin, le papa de Raphaël l'appelle pour déjeuner. Comme il ne répondit pas, il monta, ouvrit la porte. « Raphaël, où es-tu ? »
Raphaël et le lynx avaient disparu. « Ooh... Non, ils sont partis», dit le père.
« Il faut absolument que je les retrouve ! ».
Il se dirigea vers la forêt et chercha dans tous les recoins. Enfin, il les retrouva dans un abri de fortune grelottant de froid.
« Viens Raphaël et laisse ton ami ici, il est adulte maintenant et est capable de se débrouiller», dit le père.
« Non, papa, je ne peux pas le laisser ici », dit son fils.
« D'accord, mais tu devras t'en occuper. »
« Merci papa. »
« N'oublie pas de le vacciner contre les maladies ! Mais dis-moi, c'est une fille ou non ? »
« Non, papa, il s'appelle Caramel. »
« Donne-le moi pour regarder. Non c'est une fille, on va la rebaptiser Caramela. Il faudra bien faire attention qu'on ne te la prenne pas car la peau de cet animal vaut très cher, et les braconniers feraient n'importe quoi pour avoir sa belle fourrure. »
Après deux heures de marche, ils arrivèrent au village. Et soudain, le lynx commença à s'agiter et sentit un danger. Il se précipita vers un tas de bois et délivra un vieux bûcheron coincé sous un tronc d'arbre.
Pour son courage, les villageois la considérèrent comme une héroïne et érigèrent une statue.
Depuis ce jour, Carmela devint la mascotte du village et personne ne pouvait lui faire du mal sous peine d'être emprisonner.
Satia et Antoine
II était une fois un enfant qui s'appelait Raphaël. Il vivait à côté de la Forêt Noire (en Allemagne).
Son père était un grand chasseur. Un jour, il décida d'emmener son fils à la chasse. Ils virent un lynx. Le père dit à son fils : « Celui-là, il est pour toi. Sa fourrure, elle sera très bien sur un manteau. Je pars un peu plus loin. »
Raphaël s'approcha du lynx tout tremblant.
« Oh, comme tu es mignon ! Où est ta mère...? »
Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase que son père l'interrompit et dit : « Tu l'as eu ? Regarde. J'en ai eu un. Quelle belle fourrure ! »
A ces mots, le petit lynx s'enfuit.
Tout triste, Raphaël dit : « Je crois que tu as tué sa maman ».
Le lendemain matin, Raphaël décida d'aller chercher du bois dans la forêt pour le feu. Il mit ses bottes et son manteau, sortit de la maison et se mit à la recherche du lynx au lieu de ramasser du bois. Soudain, il entendit un cri et courut aussitôt.
Il vit le petit apeuré devant un loup. Raphaël saisit un bâton et fit de grands gestes pour effrayer l'animal. Celui-ci s'en alla.
Le garçon courut près du petit. Le lynx, tout apeuré, recula mais finit par se laisser apprivoiser. Délicatement, il le prit dans ses bras, le cacha sous son pull, ramassa un fagot de bois et prit le chemin du retour.
Dès qu'il arriva, il se précipita dans sa chambre et cacha son ami sous le lit. Il décida de l'appeler « Caramel ».
Chaque jour, lors du souper, Raphaël cachait quelques morceaux de viande dans sa poche. Après s'être levé de table, il se précipitait dans sa chambre pour les apporter à son compagnon. Les années passèrent et Caramel était devenu adulte. Sa fourrure brillait de mille feux.
Un soir, le papa entendit du bruit. Inquiet, il alla dans la chambre de son fils. Dés qu'il ouvrit la porte, il vit avec stupeur Caramel sur Raphaël. Croyant son fils en danger, il se précipita vers son fusil, le prit et le pointa sur l'animal. Raphaël sauta du lit, se mit devant son ami et cria: « Non, papa, ne le tue pas, c'est mon ami ! Je l'ai apprivoisé sans que tu le saches »
« Je veux bien le garder jusqu'à demain mais ensuite tu iras le relâcher dans la forêt», dit le père.
« Ah non, je l'ai depuis qu'il est bébé et il n'est pas habitué à vivre en plaine nature », s'écrie Raphaël.
« C'est un animal sauvage, sa place n'est pas ici ! »
Cette nuit-là, Raphaël décida de partir avec Caramel et de se cacher dans la forêt. Le matin, le papa de Raphaël l'appelle pour déjeuner. Comme il ne répondit pas, il monta, ouvrit la porte. « Raphaël, où es-tu ? »
Raphaël et le lynx avaient disparu. « Ooh... Non, ils sont partis», dit le père.
« Il faut absolument que je les retrouve ! ».
Il se dirigea vers la forêt et chercha dans tous les recoins. Enfin, il les retrouva dans un abri de fortune grelottant de froid.
« Viens Raphaël et laisse ton ami ici, il est adulte maintenant et est capable de se débrouiller», dit le père.
« Non, papa, je ne peux pas le laisser ici », dit son fils.
« D'accord, mais tu devras t'en occuper. »
« Merci papa. »
« N'oublie pas de le vacciner contre les maladies ! Mais dis-moi, c'est une fille ou non ? »
« Non, papa, il s'appelle Caramel. »
« Donne-le moi pour regarder. Non c'est une fille, on va la rebaptiser Caramela. Il faudra bien faire attention qu'on ne te la prenne pas car la peau de cet animal vaut très cher, et les braconniers feraient n'importe quoi pour avoir sa belle fourrure. »
Après deux heures de marche, ils arrivèrent au village. Et soudain, le lynx commença à s'agiter et sentit un danger. Il se précipita vers un tas de bois et délivra un vieux bûcheron coincé sous un tronc d'arbre.
Pour son courage, les villageois la considérèrent comme une héroïne et érigèrent une statue.
Depuis ce jour, Carmela devint la mascotte du village et personne ne pouvait lui faire du mal sous peine d'être emprisonner.
Il était une fois un grand cerf appelé Lucas.
Il vivait dans une grande forêt à côté d'un lac. Ce lac était la seule source d'eau de la forêt. Mais un jour il s'assécha. Les animaux de la forêt n'avaient donc plus d'endroit pour se désaltérer.
Ils organisèrent donc un conseil. «Chers amis nous devons quitter cette terre pour en trouver une autre» dit Lucas.
« Mais, comment allons-nous faire ? Nous n'avons jamais quitté notre forêt ! » dit Skweek l'écureuil.
« Et en plus j'attends des petits » dit Victoria la renarde.
« Et moi je ne peux pas quitter mon terrier » dit Pinpin le lapin.
« Demain, mes amis nous quitterons cette terre »
Le lendemain matin, un grand brame réveilla les autres animaux et ils se
rassemblèrent autour de Lucas .
"Les amis, l'heure est venue, faites vos bagages pour ce grand voyage" dit Lucas.
" Attends-moi !" dit Ratonton le raton laveur.
Mais que faisais-tu ? On a organisé un conseil hier et tu n'es pas venu!" dit Skweek.
"Je dormais" dit Ratonton.
"Trêve de bavardage, quittons cette forêt " dit Lucas.
Après un dernier adieu à la forêt, le petit groupe partit pour de nouvelles aventures.
Ils marchèrent pendant de longues heures quand un grizzly se dressa sur leur passage.
"Je m'appelle Vador, si vous voulez partir d'ici vivants, vous devez réussir les défis que je vais vous donner. Attention je meurs de faim et je vous croquerais bien! "
Après avoir entendu ça, Victoria s'évanouit en pensant à ses pauvres petits qui ne connaîtraient pas la vie. Tout le monde s'inquiéta.
Soudain, la soeur de Lucas, Léa, surgit de la grotte de Vador attachée au bout d'une corde en criant : "A l'aide, aidez-moi !"
Lucas essaya de délivrer sa soeur mais il se fit attraper par Vador et il fut enfermé avec sa soeur dans la grotte. Skweek, Ratonton et
Pinpin se retrouvent donc tout seuls.
Les défis de Vador commencèrent : "Premier défi : ramenez-moi un animal plus gros que vous en moins d'une demi-heure. Si vous ne revenez pas dans moins d'une demie-heure, je mangerai un de vos amis et si vous n'êtes toujours pas là une demi-heure plus tard, je mangerai l'autre !"
Ils acceptèrent le défi. Les trois amis se mirent à la recherche de cet animal qui devait être plus gros qu'eux. Ils cherchèrent pendant 15 minutes quand un sanglier surgit des buissons:
"Bonjour, je m'appelle Bill. " Les trois amis étaient ravis.
Ratonton demanda: "Peux-tu nous aider à libérer nos amis et à trouver une nouvelle terre pour vivre seremement ?"
Bill accepta, ils retournèrent sur leur pas. Ils arrivèrent après 14 minutes.
L'ours se réjouissait déjà de manger un des deux cerfs, mais les trois compagnons arrivèrent à la dernière minute.
"Bravo" dit Vador, mais ce n'est pas fini ! Préparez-vous pour la deuxième épreuve : vous devez me trouver cinq cent grammes de miel en une demi-heure"
Les quatres amis se lamentèrent "Comment allons-nous faire pour trouver tout ça ?"
Soudain Bill se souvint avoir vu une ruche remplie de miel au moment de leur rencontre. Ils revinrent sur leurs pas et à l'endroit de la rencontre, ils virent la ruche. Mais des abeilles y étaient logées.
Skweek demanda : « Voulez-vous bien nous donner du miel pour sauver nos amis? »
Une abeille répondit : « Oui mais après vous devrez nous aider à construire une autre ruche »
Nos quatre amis acceptèrent sans hésiter, mais il y eut un problème : il ne restait plus que dix minutes ! Ils durent se dépêcher. Une fois la ruche terminée, il ne restait plus que cinq minutes. Ils reprirent vite la route et arrivèrent juste à temps car Vador avait déjà préparé le bouillon.
« Bravo, je vais délivrer vos amis ! »
Une fois réunis, ils continuèrent leur route. Il y avait de magnifiques paysages et ils traversèrent des vallées et des montagnes.
Tout à coup, Victoria sentit des contractions, tout le monde s'arrêta et un lynx apparut et menaça de manger les petits. Tout le monde protégea Victoria pendant que les petits naissaient. Et finalement, ils parvinrent à s'échapper et à semer le lynx.
Ils reprirent la route pendant que les petit s se tenaient sur le dos de leur mère.
La nuit tomba, tout le monde était fatigué. Ils trouvèrent un petit bosquet pour dormir.
Le lendemain matin ils se remirent en route, mais le lynx de la veille les avait suivis grâce à l'odeur. Il les suivit pendant deux heures puis il passa à l'attaque dans un coin. Mais le sanglier était plus fort que lui, et le lynx s'enfuit.
Ils marchèrent encore de longues heures quand Pinpin s'écria : " J'ai faim, j'ai soif, et je suis fatigué !"
Lucas lui répondit : "Faisons une pause et allons chercher à manger"
Ils partirent donc à la recherche de nourriture. Ils trouvèrent un champ mais la chasse était ouverte. Les chasseurs tirèrent de tous les cotés sans savoir que certains de ces animaux étaient protégés. Et soudainement tout s'arrêta.
" Ils ont eu un faisan", pensa Léa.
Pinpin et Ratonton se mirent à la recherche du faisan. Ils le trouvèrent à terre. La balle avait touché sa patte. Il était évanoui. Donc Pinpin et Ratonton l'emmenèrent en sécurité. Quand il reprit connaissance, il remercia le petit groupe car Victoria l'avait soigné.
Peu de temps après, il dansait le rock, et il s'en alla donc à tire d'ailes.
Notre petit groupe repartit à la nuit tombée. Ils décidèrent de faire des tours de garde pour ne pas se faire attaquer par surprise. Lorsque ce fut le tour de Lucas de prendre le relais un loup solitaire appelé Croc Blanc surgit.
Lucas et Croc Blanc se battirent jusqu'au petit matin. Quand Bill se réveilla, il comprit qu'il se passait quelque chose d'anormal alors il chargea. Croc Blanc disparut dans la forêt.
« Merci » dit Lucas.
« Mais pourquoi ne nous as-tu pas réveillés ?» dit Bill.
« Car je savais qu'une seconde d'inattention pouvait m'être fatale.»
Lucas était blessé à la patte et au visage, mais il était solide. Bill et Lucas parlèrent en attendant que les autres se réveillent.
Léa en se réveillant faillit s'évanouir quand elle vit Lucas couvert de sang, mais elle demanda : "Que s'est-il passé ici ?"
Lucas répondit « Je me suis battu avec un loup, mais ce n'est pas grave ne t'en fais pas pour moi. »
Il vivait dans une grande forêt à côté d'un lac. Ce lac était la seule source d'eau de la forêt. Mais un jour il s'assécha. Les animaux de la forêt n'avaient donc plus d'endroit pour se désaltérer.
Ils organisèrent donc un conseil. «Chers amis nous devons quitter cette terre pour en trouver une autre» dit Lucas.
« Mais, comment allons-nous faire ? Nous n'avons jamais quitté notre forêt ! » dit Skweek l'écureuil.
« Et en plus j'attends des petits » dit Victoria la renarde.
« Et moi je ne peux pas quitter mon terrier » dit Pinpin le lapin.
« Demain, mes amis nous quitterons cette terre »
Le lendemain matin, un grand brame réveilla les autres animaux et ils se
rassemblèrent autour de Lucas .
"Les amis, l'heure est venue, faites vos bagages pour ce grand voyage" dit Lucas.
" Attends-moi !" dit Ratonton le raton laveur.
Mais que faisais-tu ? On a organisé un conseil hier et tu n'es pas venu!" dit Skweek.
"Je dormais" dit Ratonton.
"Trêve de bavardage, quittons cette forêt " dit Lucas.
Après un dernier adieu à la forêt, le petit groupe partit pour de nouvelles aventures.
Ils marchèrent pendant de longues heures quand un grizzly se dressa sur leur passage.
"Je m'appelle Vador, si vous voulez partir d'ici vivants, vous devez réussir les défis que je vais vous donner. Attention je meurs de faim et je vous croquerais bien! "
Après avoir entendu ça, Victoria s'évanouit en pensant à ses pauvres petits qui ne connaîtraient pas la vie. Tout le monde s'inquiéta.
Soudain, la soeur de Lucas, Léa, surgit de la grotte de Vador attachée au bout d'une corde en criant : "A l'aide, aidez-moi !"
Lucas essaya de délivrer sa soeur mais il se fit attraper par Vador et il fut enfermé avec sa soeur dans la grotte. Skweek, Ratonton et
Pinpin se retrouvent donc tout seuls.
Les défis de Vador commencèrent : "Premier défi : ramenez-moi un animal plus gros que vous en moins d'une demi-heure. Si vous ne revenez pas dans moins d'une demie-heure, je mangerai un de vos amis et si vous n'êtes toujours pas là une demi-heure plus tard, je mangerai l'autre !"
Ils acceptèrent le défi. Les trois amis se mirent à la recherche de cet animal qui devait être plus gros qu'eux. Ils cherchèrent pendant 15 minutes quand un sanglier surgit des buissons:
"Bonjour, je m'appelle Bill. " Les trois amis étaient ravis.
Ratonton demanda: "Peux-tu nous aider à libérer nos amis et à trouver une nouvelle terre pour vivre seremement ?"
Bill accepta, ils retournèrent sur leur pas. Ils arrivèrent après 14 minutes.
L'ours se réjouissait déjà de manger un des deux cerfs, mais les trois compagnons arrivèrent à la dernière minute.
"Bravo" dit Vador, mais ce n'est pas fini ! Préparez-vous pour la deuxième épreuve : vous devez me trouver cinq cent grammes de miel en une demi-heure"
Les quatres amis se lamentèrent "Comment allons-nous faire pour trouver tout ça ?"
Soudain Bill se souvint avoir vu une ruche remplie de miel au moment de leur rencontre. Ils revinrent sur leurs pas et à l'endroit de la rencontre, ils virent la ruche. Mais des abeilles y étaient logées.
Skweek demanda : « Voulez-vous bien nous donner du miel pour sauver nos amis? »
Une abeille répondit : « Oui mais après vous devrez nous aider à construire une autre ruche »
Nos quatre amis acceptèrent sans hésiter, mais il y eut un problème : il ne restait plus que dix minutes ! Ils durent se dépêcher. Une fois la ruche terminée, il ne restait plus que cinq minutes. Ils reprirent vite la route et arrivèrent juste à temps car Vador avait déjà préparé le bouillon.
« Bravo, je vais délivrer vos amis ! »
Une fois réunis, ils continuèrent leur route. Il y avait de magnifiques paysages et ils traversèrent des vallées et des montagnes.
Tout à coup, Victoria sentit des contractions, tout le monde s'arrêta et un lynx apparut et menaça de manger les petits. Tout le monde protégea Victoria pendant que les petits naissaient. Et finalement, ils parvinrent à s'échapper et à semer le lynx.
Ils reprirent la route pendant que les petit s se tenaient sur le dos de leur mère.
La nuit tomba, tout le monde était fatigué. Ils trouvèrent un petit bosquet pour dormir.
Le lendemain matin ils se remirent en route, mais le lynx de la veille les avait suivis grâce à l'odeur. Il les suivit pendant deux heures puis il passa à l'attaque dans un coin. Mais le sanglier était plus fort que lui, et le lynx s'enfuit.
Ils marchèrent encore de longues heures quand Pinpin s'écria : " J'ai faim, j'ai soif, et je suis fatigué !"
Lucas lui répondit : "Faisons une pause et allons chercher à manger"
Ils partirent donc à la recherche de nourriture. Ils trouvèrent un champ mais la chasse était ouverte. Les chasseurs tirèrent de tous les cotés sans savoir que certains de ces animaux étaient protégés. Et soudainement tout s'arrêta.
" Ils ont eu un faisan", pensa Léa.
Pinpin et Ratonton se mirent à la recherche du faisan. Ils le trouvèrent à terre. La balle avait touché sa patte. Il était évanoui. Donc Pinpin et Ratonton l'emmenèrent en sécurité. Quand il reprit connaissance, il remercia le petit groupe car Victoria l'avait soigné.
Peu de temps après, il dansait le rock, et il s'en alla donc à tire d'ailes.
Notre petit groupe repartit à la nuit tombée. Ils décidèrent de faire des tours de garde pour ne pas se faire attaquer par surprise. Lorsque ce fut le tour de Lucas de prendre le relais un loup solitaire appelé Croc Blanc surgit.
Lucas et Croc Blanc se battirent jusqu'au petit matin. Quand Bill se réveilla, il comprit qu'il se passait quelque chose d'anormal alors il chargea. Croc Blanc disparut dans la forêt.
« Merci » dit Lucas.
« Mais pourquoi ne nous as-tu pas réveillés ?» dit Bill.
« Car je savais qu'une seconde d'inattention pouvait m'être fatale.»
Lucas était blessé à la patte et au visage, mais il était solide. Bill et Lucas parlèrent en attendant que les autres se réveillent.
Léa en se réveillant faillit s'évanouir quand elle vit Lucas couvert de sang, mais elle demanda : "Que s'est-il passé ici ?"
Lucas répondit « Je me suis battu avec un loup, mais ce n'est pas grave ne t'en fais pas pour moi. »
Quand tout le monde fut réveillé, ils se remirent en route. Pendant la marche, une forêt apparut au loin. Sur un panneau ils lirent "chasse interdite".
Quand ils virent ce grand lac bordé de fleurs, ils se dirent "Enfin nous l'avons fait, nous sommes parvenus à surmonter tous les défis qui se dressaient sur notre route et nous avons trouvé notre nouvelle terre !"
Et maintenant ils vivent heureux dans cette forêt au bord du lac.
Quand ils virent ce grand lac bordé de fleurs, ils se dirent "Enfin nous l'avons fait, nous sommes parvenus à surmonter tous les défis qui se dressaient sur notre route et nous avons trouvé notre nouvelle terre !"
Et maintenant ils vivent heureux dans cette forêt au bord du lac.
Contes des louveteaux de la 267e unité
Scouts et guides pluralistes (7-12 ans)
Scouts et guides pluralistes (7-12 ans)
Les renards et les chasseurs
Rachel, 10 ans
Rachel, 10 ans
-
C'était en hiver, un hiver très froid dans ce petit bois près
de la mer. Coquinou, le renard roux, était seul, très seul. Tout à coup, il vit
quelque chose de blanc filer à toute allure à travers les broussailles. La
« chose blanche »s’arrête, repart, s’arrête et continue ainsi son
manège pendant quelques temps. Elle finit par arrêter de bouger et, intrigué,
Coquinou s'approche. La chose s'enfuit, mais, il en est sûr, c'est un renard.
Blanc ?!... Toute la nuit, Coquinou se demanda les raisons de la blancheur
du renard : maladie ? Et s'il venait d'ailleurs ?...le matin, il
conclut qu'il lui fallait l'approcher. Dès lors, il partit à sa recherche.
Coquinou le chercha toute la matinée, et le trouva le midi en mangeant des
baies. Il le vit et tomba de fatigue car il n'avait pas dormi de la nuit. Quand
il se réveilla, il était dans une clairière du bois qu'il connaissait bien, au
près du renard blanc.
– « Qui es-tu ? Comment t'appelles-tu ? D'où viens-tu ? ».
– « Du calme ! Je suis un renard polaire. Je m'appelle Flèche d'Argent. Et voici mon histoire : j'étais jeune encore, je tétais
maman lorsque soudain, j'entendis une détonation, un coup de feu. Maman ne bougeait plus, le lait ne coulait plus. Je me suis
caché avec papa. J'ai vu les chasseurs enlever la fourrure de maman et laisser la carcasse sur le sol. J'ai grandi, je suis partie du
groupe. La banquise fondait, j'étais en train de pêcher quand le morceau de banquise sur lequel j'étais s'est détaché. J'ai
traversé plusieurs mers et me voici. Et toi, qui es-tu ? ».
– « Je m'appelle Coquinou, je suis un renard roux, et j'habite ici depuis ma naissance. Voilà ! Rien d'extraordinaire...
Mais toi, quelle histoire ! Tu as eu une vie exceptionnelle !!! ».
– « C'est du passé, rien que du passé ».
Il bavardèrent ainsi toute la journée, jusqu'à se connaître parfaitement. Quand vint le soir, Coquinou invita Flèche d'Argent à dormir dans sa tanière. Elle était embarrassé à partir du moment même où il lui posa la question.
– « Alors tu viens ? ».
– « Euh... En fait...Euh... ».
– « On se retrouve ici demain ! », s'exclama-t-il sans lui laisser le temps de répondre.
Il retourna dans sa tanière en se demandant ce qui avait pu provoquer l'embarras de la renarde. Le lendemain matin, arrivé à la clairière, il aperçoit Flèche d'Argent tapie dans un buisson. A peine l'a t-il rejoint, qu'une musique emplit la forêt :
– « Les chasseurs du seigneur !!, s'écria Flèche ».
– « Tu les connais ? »
– « Oui, ils me chassent ! C'est pour ça que je ne voulais pas rentrer avec toi ; j'avais peur qu'ils nous tirent dessus ! »
Sur ces mots, Flèche éclata en sanglots. L'ambiance est sinistre. Aucun n'ose prononcer une parole. La peur leur serre le ventre. Ils voient passer les chevaux, puis une suite, et un homme important ; le seigneur. Les chevaux disparaissent enfin, le danger est écarté, mais Flèche continue de pleurer. Quelque chose ne va pas. Elle est sensible à...mais oui ! Sa mère a été tuée par des braconniers avides de fourrures et gâcheurs de vie, retirant sans scrupules une mère à ses petits. Elle a peur que ce soit son destin, c'est évident !
– « Tout est fini, ils sont partis », la rassure Coquinou.
– « C'est du passé, rien que du passé... », lui répondit-elle seulement.
Soudain, un coup de feu retentit et une perdrix tombe. De leur cachette, les renards virent un homme pauvre, vêtu de simples haillons. Et, en grelottant, le pauvre homme ramassa la perdrix et la fourra dans sa besace qui ne contenait qu'un lièvre et une boussole. Sa besace et sa carabine étaient les seuls objets qu'il possédait. Pas de pièges barbares, pas de bijoux, pas de richesses. L'homme faisait pitié à voir. A tel point que Flèche éclata à nouveau en sanglots. Elle essaya de s’arrêter, mais trop tard, ils étaient repérés. Le pauvre, pourtant chasseur, ne tira pas, comprenant la rareté de cet animal mais continua son chemin. Les dangers écartés, les renards reprirent leur conversation :
– « Cet homme est bon !, déclara Flèche, je le pressens ».
– « C'est évident, il ne tue pas pour le plaisir, comme le seigneur...il tue par besoin !...pauvre homme... ».
– « Nous ne savons rien de lui !, dit Flèche ».
– « Et de toi, que savons nous?Tu es un renard polaire,tu t'appelles Flèche d'Argent et ta mère est morte, c'est tout.
Qui était ton père, ta mère et le nom de ta meute ?
– « C'est vrai, tu as raison. Il faut mener des recherches ! »
Après maintes discussions, ils se mirent d'accord pour mener des recherches. Ils se retrouvèrent le lendemain, comme prévu :
– « On commence ? », dit Flèche.
– « Qui ? Que? Quoi ?Où ?Comment mène-t-on des recherches ? » demanda Coquinou.
– « Commençons par trouver le bon chasseur, peut être qu'il comprendra ».
– « J'espère !... »
Ils marchèrent ainsi longtemps, très longtemps jusqu'à apercevoir une cabane en rondins de bois. Ils s'en approchèrent silencieusement. Tapis dans l'ombre des arbres, ils observèrent.
– « Nous voici enfin arrivés !, s'exclama Coquinou ».
– « Comment peux-tu être sûr que c'est ici ? Il faut vérifier ».
– « J'y vais ! »
– « Non !! Il vaut mieux observer de loin ; nous le saurons et c'est moins dangereux ».
Ils attendirent longtemps sans rien voir, mais au moment où ils voulurent partir, le pauvre chasseur rentra chez lui.
Il avait une femme et cinq enfants ; trois fils et deux filles. Tous étaient maigres et fragiles à cause de la faim. Ils étaient tellement pauvres qu'ils se nourrissaient des rats qui infestaient leur maison. Le peu d'argent qu'ils gagnaient était versé au seigneur. Les deux renards, assurés d'être à la bonne adresse, grattèrent la porte de la cabane. La chasseur, prénommé Antoine, leur ouvrit. Quel ne fut pas sa surprise quand il vit les deux renards sur le seuil de sa maison !! Alors, se rappelant de leur entrevue, il sortit de chez lui, referma la porte, et suivit les renards dehors. Coquinou s'adressa à lui :
– « Flèche est une renarde polaire. C'est très rare ici, elles est donc chassée par le seigneur qui veut s'en faire une pelisse.
Nous savons que tu peux nous comprendre car tu chasses par besoin. C'est pour cette raison que nous sommes venus te voir,
toi. Nous devons mener des recherches et nous avons besoin d'un humain. Es-tu d'accord ? »
– « Tu … tu parles ? »
– « Je ne parle pas, je glapit dans ta langue ».
– « Bon ...Je veux bien vous aider. Je m'appelle Antoine .Et toi ? »
– « Je m'appelle Coquinou. On se retrouve ici demain, à 9 H 00 piles ! »
Ils se quittèrent sur ces mots. Le lendemain , à 9 H 00 piles, ils se retrouvèrent dans la clairière prévue. Antoine avait une idée en tête :
– « Je connais un endroit où nous trouverons sûrement des informations. Cela s'appelle un musée . »
– « En quoi consiste ton «musée» ?demanda Flèche »
– « Il y a des informations sur tous les animaux du monde et sur le monde lui-même. Nous pourrions y entrer mais il faut de
l'argent et je n'en ai pas. Comment faire ? »
– «J'ai la solution!!!Nous allons t'aider à chasser, comme ça tu auras l'argent nécessaire pour nous faire entrer tous les trois»
dit Coquinou. .
– « Les animaux sont interdits dans le musée, vous ne pourrez pas rentrer », lui répond Antoine.
– « Il n'y a donc pas de solution ? » demanda Flèche
– « Si ! Dans le musée, il y a des animaux empaillés. Vous pourriez vous faire passer pour l'un d 'eux. Au passage vous trouverez
des informations, puis nous partirons et le tour est joué!répond Antoine. Commençons à chasser, nous récolterons de
l'argent ! »
Ils chassèrent tout l'après-midi. A la fin de la journée, ils comptèrent le gibier :
4 lièvres, 4 faisans et 6 perdrix .
– « Demain j'irai sur le marché pour les vendre. Il y aura suffisamment d'argent pour entrer au musée. Dit Antoine. »
– « Que ferons nous pendant ton absence ? » demanda Flèche d'Argent
– « Vous préviendrez ma famille . »
– « D'accord ! Répondirent les deux renards en chœur. On se retrouve près de chez toi . »
Le lendemain,au petit matin, Antoine se mit sur la route du marché. Sa besace contenait le gibier qu'ils avaient chassé la veille. En ville, il y avait tellement de monde que l'étal d'Antoine ne prenait pas plus de place qu'une table d'écolier. C'était la première fois que le pauvre homme voyait la ville. Tout l'émerveillait : la population énorme, l'éclairage et les animations, tout était nouveau pour lui. Il réussit à vendre tout le gibier. Quand il rentra le soir, il était épuisé par les bruits de la ville. Pendant ce temps, les renards avaient fait du bon travail . Ils avaient expliqué à la famille du chasseur toute leur aventure depuis le début. Cette énorme tâche terminée, ils avaient attendu le retour du chasseur . Quand ils se retrouvèrent, une discussion s 'engagea :
– « Nous avons prévenu ta famille mais tes deux plus jeunes enfants ne faisaient que de nous caresser. J'en ai les poils tous
retournés ! » se plaint Coquinou. Sur ces mots et en voyant la tête de Coquinou, Flèche d'Argent et Antoine éclatèrent de rire.
– « Bon. Passons aux choses sérieuses, dit Antoine. Nous allons pouvoir entrer au musée. Il faut que vous soyez prêts à prendre
des renseignements et à vous camoufler. Pour vous faire entrer j'ai trouvé une petite porte;quand à moi, j'ai assez d'argent
pour entrer. Vous dormirez chez moi pour que nous puissions partir ensemble ».
Le lendemain, ils se réveillèrent avec Antoine, chez lui. Tout est normal car ils avaient dormi chez lui. Quand les trois compères furent réveillés et prêts, ils se mirent sur le chemin de la ville. La besace d'Antoine contenait cette fois-ci du papier et un crayon, pour noter les informations qu'ils trouveraient en ville. Sur le chemin, Antoine leur expliqua le plan :
– « Pendant que je ferais la queue devant le musée, vous essayerez de rentrer par la porte que je vous ai indiquée. Une fois
entrés tous les trois nous chercherons les informations puis nous partirons. »
Arrivés en ville, ils ne mirent pas longtemps à trouver le musée. Puis ils se séparèrent comme prévu. Quand ils furent tous rentrés, ils se retrouvèrent là où était exposés les animaux polaires. Un chapitre sur les renards polaires était particulièrement intéressant. Antoine le recopia car il parlait de tout ce que les trois amis recherchaient :
« Les renards polaires vivent en meute sauf à la saison des amours où le mâle et la femelle partent ensemble. Nous avons
recueilli les noms de meutes des renards selon les indications géographique :
au Nord, les «argentés»,
au Sud, les «valeureux»,
à l'Est, les « vikings»,
à l'Ouest, les « vaillants».
Il y a quelques années,une renarde de la meute des argentés fut tuée par des braconnier.
Elle laissait derrière elle une orpheline.»
Une image était jointe au deux dernières phrases. En la voyant, Flèche d'Argent s'écria:
– « MAMAN !!!! »
Ainsi l'identité de Flèche était évidente : c'était une renarde du Nord, de la meute des « Argentés», sa mère était connue au musée. Ayant la réponse à leurs questions, les trois amis rentrèrent dans leur forêt. Enfin, Flèche d'Argent étant assurée de son identité, reprit goût à la vie. On aurait dit qu'elle était retombée en enfance. Les deux renards passaient leurs journées à jouer comme deux renardeaux qui découvrent la vie et que la moindre chose amuse. Souvent, ils aidaient Antoine à chasser. La vie n'était pour eux qu'une partie de plaisir. Ils étaient insouciants et avaient oublié que le seigneur habitait par ici. Ils l'avaient oublié jusqu'à ce jour précis, ce jour qui changea leur vie.
Alors qu'ils étaient en train de s'amuser dans la clairière de leur rencontre, ils entendirent une musique qui ne leur était pas inconnue. C'était les cors de chasse du seigneur ! Ils jouaient sur cette musique, mais quand ils comprirent le danger, il était trop tard ; les chasseurs les avaient repérés. Une course poursuite commença alors. Soudain, une balle siffla et toucha l'épaule de Fléche. Le seigneur, croyant l'avoir bel et bien tuée, continua sa chasse en espérant la retrouver par la suite. Une aubaine pour Flèche car elle n'était que blessée. Coquinou traîna flèche jusqu'à la cabane d'Antoine pour la soigner. Le trajet fut long et difficile, mais dès leur arrivée, Flèche pu être soignée par ses deux amis. Quelques jours plus tard, elle pouvait à nouveau gambader sans douleurs. Mais, après quelques jours et beaucoup de discussions les deux renards annoncèrent une grave nouvelle à Antoine :
– « Antoine, nous devons te dire quelque chose, commença Flèche . Nous avons pris une grave décision. Étant donné que la forêt
est dangereuse pour nous, nous allons partir, changer de forêt, continua-t-elle en pleurant. J'ai vécu les plus beaux jours de
mon existence ici, mais la menace plane et partir est nécessaire à notre survie. Nous te regretterons... ».
– « Je sens que votre décision est prise. Je ne cherche pas à la contester, mais à la modifier, répondit le chasseur ».
– « Comment ça ? demanda Coquinou ».
– « Et bien, toute ma tribu et moi même, partons avec vous ! Nous quittons tout, sauf vous ! ».
Au petit matin, ils se mirent en route pour la forêt voisine. Elle était proche mais appartenait à un autre seigneur, bon et juste, qui ne chassait que le nécessaire. Pendant leur exode, on pouvait voir sur les chemins sept humains et deux renards marcher solidairement en direction du bois. A destination, chacun se trouva une habitation. Une cabane en plein milieu du bois, pour Antoine et sa famille, quant à Flèche et Coquinou, ils se creusèrent un terrier près d'une cascade. Après quelques jours seulement, ils connaissaient déjà la forêt dans ses moindres recoins, s'y amusaient sans craintes et aidaient Antoine à chasser comme autrefois.
D'ailleurs, cet Antoine fut un jour réveillé par des par des grattements à sa porte. Il ouvrit et il vit Flèche, Coquinou et trois petits renardeaux ; des renardeaux roux et blanc.
L'avidité n'est pas assez puissante pour détruire une amitié